Après quatorze années à la tête du musée de La Cour d’Or, et une riche carrière sous le signe de la culture, Philippe BRUNELLA, tourne aujourd’hui une nouvelle page. C’est cette fois à la politique qu’il compte se dédier. Celui qui a contribué à moderniser le musée de Metz revendique désormais une volonté de « servir la ville autrement ».
« Il y a une personne qui s’appelle François Grosdidier, avec qui j’ai des convergences de convictions et des convergences de vision » explique Philippe BRUNELLA. Il assume donc pleinement son soutien au maire de Metz, et président de la métropole, François GROSDIDIER.
L’approche des élections municipales qui se tiendront les 15 et 22 mars 2026 n’est pas étrangère à cette prise de position. « J’ai envie de partir à ses côtés s’il est candidat. Je lui ai proposé et il a accepté que je l’accompagne dans cette belle aventure », confie Philippe BRUNELLA.
François GROSDIDIER qui évoque déjà un troisième mandat ne s’est pas encore annoncé candidat à sa propre succession, mais l’officialisation devrait arriver prochainement, sans suspense.
Pourquoi se lancer en politique ? L’intéressé répond que c’est par conviction qu’il s’est engagé dans les mondes du patrimoine et de la culture, et que c’est également par « par passion et par conviction » qu’il entre aujourd’hui dans l’arène politique :
« Je suis de ceux qui pensent que la politique est là pour faire avancer les choses. Il ne m’intéresse pas d’être dans les discussions stériles, dans la critique violente. Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir de nos concitoyens. Je suis peut-être un peu naïf en la matière, mais c’est mon ambition. »
Philippe BRUNELLA aurait-il déjà un rôle en tête ? « Il s’agira de voir où François Grosdidier pense que je puis être le plus utile pour Metz et nos concitoyens », affirme l’ancien directeur du musée de La Cour d’Or.
