Le FC Metz affrontait Créteil ce vendredi 09 août 2013, pour la seconde journée du championnat 2013 / 2014 en Ligue 2.
Après la victoire du FC Metz lors de la première journée à domicile, mais après la défaite au 1er tour de la coupe de la Ligue mardi, il s’agissait pour les grenats de confirmer leur capacité à remporter des matchs, y compris à l’extérieur.
Mais sur le score de 3 à 2, le résultat du match est en faveur de Créteil, qui avait terminé à la première place du championnat de national devant le FC Metz la saison dernière.
Point positif : le FC Metz s’accroche lorsqu’il est mené à la marque (voir ci-dessous), il sait marquer des buts, mais en encaisse aussi… au moins un de trop ce soir.
Ce qui indique néanmoins que la charnière défensive doit améliorer ses automatismes et augmenter son étanchéité face aux futurs adversaires… dans les championnats serrés, le goalaverage peut jouer un rôle significatif.
Résumé du match
L’ouverture de la marque fut réalisée par Créteil à la 29e minute (Faneva Andriatsima), mais Diafra Sakho rétablissait le nul juste avant la mi-temps (41e). Les deux équipes rentraient donc au vestiaire à la mi-temps avec tout à refaire (1-1).
Et c’est Créteil qui, dès la 4ème minute de la seconde mi-temps (Cheikh NDoye), mettait la pression sur les grenats (2-1).
Albert Cartier faisait alors successivement rentrer la dernière recrue Fauvergue en remplacement de NGbakoto (60e), puis Sarr à la place de Rocchi (69e).
Diafra Sakho se faisait un plaisir de remettre une nouvelle fois les pendules à l’heure (70e), d’une tête pour égaliser à 2-2. Quatre minutes plus tard, l’entraîneur du FC Metz faisait entrer Kashi à la place de Bourgeois.
Malheureusement, à la 88ème minute, Créteil, une nouvelle fois grâce à Cheikh NDoye, inscrivait le but de la victoire, arrachée sur le score de 3-2 devant son public.
Le prochain match de championnat se déroulera à St Symphorien, le vendredi 16 août, face à Arles Avignon.
Espérons que les messins auront à coeur de convaincre leur public que cette défaite ne constituait qu’un faux pas.
