Economie & emploi

Vosges : les 37 salariés de la scierie Gerbois au chômage

Bois biomasseLa nouvelle est tombée ce mardi 22 octobre 2013. Le Tribunal de Commerce d’Épinal a prononcé la liquidation judiciaire de la scierie Gerbois de Saulxures-sur-Moselotte dans les Vosges. En redressement judiciaire depuis le 3 mai 2012, elle n’aurait trouvé aucun repreneur. Ses 37 salariés sont désormais au chômage.

La scierie, qui existe depuis 1977, connaît un bien triste destin. C’est en 2007 qu’elle sort du cadre familial des propriétaires et qu’elle est revendue au financier parisien Patrick Durand-Smet. L’homme avait également racheté la corderie Bihr, à Uriménil, déjà liquidée il y a quelques mois.

La loi des séries semble être de mise, puisqu’aujourd’hui, c’est la scierie Gerbois qui est officiellement liquidée et surtout, qui voit ses 37 salariés mis au chômage.

En cause d’après lui : les difficultés de leur principal client, à savoir le groupe PSA pour lequel la scierie fabriquait des pièces d’emballage pour leurs expéditions étrangères de sous-ensembles automobiles.

Le groupe PSA aurait arrêté de livrer en Iran il y a un an et demi. L’effet est radical : la scierie Gerbois perd ainsi 45% de son chiffre d’affaire.

Le peu d’entreprises présentes dans les Vosges risque de donner du fil à retordre aux ouvriers désireux de retrouver un emploi rapidement.

La scierie Gerbois de Saulxures-sur-Moselotte dans les Vosges est en liquidation judiciaire. 37 salariés sont au chômage.

4 commentaires

  1. Pour Jennifer Garni Encore une ! on devrait faire un proposition pour une equipe qui s’occuperait du redressement via un plan de continuation plutôt qu’un plan de cession qui conduit à la liquidation automatique !C’est vrai que cela rapporte plus aux acheteurs! On connait et on se bat pour ça
    Montebourg est il alerté !
    « il serait peut être temps d’essayer une equipe qui n’est pas là pour s’en foutre plein les poches (comme tous les financiers parisiens ou autres !)lors d’une inevitable et enième cession d’actifs (plus de 2000 emplois sauvables mais perdu en 2 ans de démarches) mais pour oeuvrer au redressement d’une entreprise viable avec le personnel, les clients , les créanciers ! »
    Aller voir Groupe-meod.com et vous comprendrez !

    1. C’est un blabla de Groupe Meod ! Quelle reprise d’entreprise a-t-il fait et réussi ? Aucune !!! Ça brasse du vent. Spécialiste surtout de « y’a qu’à, faut qu’on »

  2. Mr Smet venait fumer son cigare dans des locaux qui etait non fumeur et entreposais sa planche de surf dans l entreprise . Il me demandais de prospecter des entreprises du cac 40 sachant que ces entreprises etaient situés a Paris ( comme THALES). la problématique c etait que ces entreprises travaillais avec des concurrents à nous qui étaient situé à 100 metres de leur site. Tous les décideurs contactés m ont dit que c était utopique stratégiquement parlant car nos coût d acheminement nous rendais tout simplement non concurrentiel. Face à cela j ai fat remonté l information mais il ne m écoutais pas, je lui est dit qu il fallais se baser sur des production locales pour maintenir la production minimum de l usine pour éviter des licenciements en amonts de ma 1 ere tâche , je préconisais une prospection plus humble et réalisable a 50% de mon temps ( entreprise de champagne pour des caisses par exemple ) . Le but etait de trouver des marches directs et plus accessibles lors de la moitié de mon temps au minimum avant de rêver a des marchés énormes car on etait incapable d assumer . j ai demander si on pouvais créer un bareme dégréssif des prix pratiqués en créant une offre « moyen terme » ex 1ere année le prix est fort , la 2eme moins puis la 3 eme aussi jus qu a atteindre un prix stable basé sous le prix de la concurrence. cela nous aurais permis de nous positionner avec une offre  » nouvelle » permettant un angle d attaque sur les entreprises jusque la inaccessibles . cela aurais permis aussi à l usine de tourner sachant que dans le cas de l entreprise , faire tourner les usines était la priorités cela aurais offert un point d équilibre . deux semaine apres mon contrat d alternance fut rompu et mon inexpérience de ce genre de conflits m a couté cher , j ai fait une erreur , j ai signé des documents sans faire attention , ce fut concidéré comme une démission et je suis tombé au rsa , je n avais pas le droit au chômage. J ai encore l impression que Mr SMIS,il n etait pas la pour sauver des emploi dans le but de prospérer par la suite mais il était la pour prospérer en liquidant des emplois ; stratégie improbable, méconnaissance en terme de positionnement, incapacité à créer ou innover pour une stratégie commerciale innovante, incapacité a ecouter et se faire respecter de ses employés….enfin on m a reproché de discuter avec ceux qui bossais en usine ( pourtant indispensable pour ma formation technique) . les salariés se réunissaient autour d un feu dans l usine pour manger et on ma reproché de préférer manger avec eux et comme il m ont confié certaines incertitudes sur leur avenir , j était passé de  » leur coté  » . Je payais m ont café comme les salariés, or, dans les bureaux de l usine, 5 personnes seulement pouvait les avoir gratuits (les deux commerciaux,la secretaire , le directeur de site , moi et Mr Smis lorsqu il venait) …Dans le but d être efficace je préférais le boire avec ceux qui était sur le terrains afin d être affûté techniquement lors de mes prospections, je voulais pouvoir réussir pour eux mais la direction à mal prit cela par pur paranoïa.J ai été viré en démissionnant sans m en rendre compte j était déçu , mal conseillé par un avocat peu scrupuleux …. peu de temps après 37 employés était au chômage ………moi je pense qu il était possible de tenter bien plus mais Mr SMITH n’avait rien a faire comme décideur d une entreprise familial…. très très déçu

  3. **moi je pense qu il était possible de tenter bien plus mais Mr SMIS n’avait rien à faire comme décideur d une entreprise familial…. très très déçu**

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page