Actualité locale & sociétéCulture & spectacles

« Couleurs Supérposées » une performance à l’Opéra-Théâtre

Le 3 septembre prochain, et dans le cadre de Constellation, venez découvrir   » Couleurs Superposées« , une performance de Daniel Buren à  l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole .

Horaires et Tarifs

Dès 20h30 à l’Opéra-Théâtre de Metz
Entrée libre sur réservation seulement :
03 87 56 89 39

Couleurs Supérposées

L’une œuvre se crée, sous les yeux des spectateurs.

Cinq acteurs/danseurs, étudiants de l’Ecole Supérieure d’Art de Metz Métropole, font et défont sans une pièce où tout reste à faire.

Daniel Buren en maître de la scène commande le destin de l’improvisation et superpose les couleurs.

L’œuvre éphémère n’a de cesse ni d’achèvement. Elle ne persiste que dans l’imaginaire du spectateur. Toutes les possibles représentations sont mises en doutes puisque rien n’est écrit.

« Je suis comme un chef d’orchestre qui dirigerait une musique qui n’est pas encore écrite. C’est comme un ballet, et j’improvise au fur et à mesure de ce qui se passe, avec toutes les surprises qui peuvent arriver. (…) Ce qui compte ici, c’est uniquement le processus, pas son résultat. »

Daniel Buren

Daniel Buren est un artiste né à Boulogne Billancourt en mars 1938.
Sorti de l’École des Métiers d’art, il utilise de nombreuses techniques, dont les films, la vidéo et aussi le son.

Il est le propre théoricien de son travail, apportant toujours notes explicatives, informations descriptives.

Il reçoit des prix à travers sa carrière de concepteur d’art et à même comblé une très controversée commande de l’État Français pour « les deux plateaux » dans la cour d’honneur du Palais Royal de Paris à savoir les fameuses « colonnes de Buren ».

Il aime mettre en exergue les bandes rayées, une sorte d’apanage de son œuvre.

Les messins peuvent d’ailleurs admirer ses « flammes colorées » depuis déjà de nombreuses semaines au dessus de la rue Serpenoise.


Source : Centre Pompidou-Constellation

Un commentaire

  1. L’oeuvre est quelques peu répétitive. Les ordres donnés « bleu en bas », « rose en haut » allongent la représentation. Néanmoins, la représentation a fait son effet. Entre les couleurs froides du début et les couleurs pop de la fin, j’ai vraiment eu l’impression de passer de la monotonie à quelques chose de gai. A la fin, lorsque Buren demande de déchirer le collage en faisant des courbes, on ne voit plus les bandes. Le public a d’ailleurs réagi entre les exclamations des uns et des autres…
    Une expérience un peu longue mais enrichissante au final. Et tout ça rien qu’avec des couleurs et des bandes

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page