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Metz : un candidat PS aux départementales agressé en faisant campagne

(AFP). Un candidat socialiste aux élections départementales a été agressé jeudi 26 mars 2015 alors qu’il faisait campagne dans un quartier de Metz par un jeune homme qui reprochait aux élus d’être « tous pourris ».

Jean-Michel Toulouze, 50 ans, a reçu un coup de poing au visage asséné par un homme de 24 ans, connu des services de police pour des faits de violences, et qui était alcoolisé au moment des faits.

L’agresseur, qui ne « savait pas de quel parti politique » était sa victime, a tenu des propos hostiles aux élus, les qualifiant de « tous pourris ».

Le jeune homme a été arrêté et placé en cellule de dégrisement, avant d’être auditionné.

M. Toulouze est « choqué » et a vu un médecin, mais son état n’a pas nécessité d’hospitalisation, selon la police.

Jean-Michel Toulouze, dont le binôme PS a recueilli 30,51% des voix dans le canton Metz 2, affrontera au second tour un binôme UMP/UDI. Le Front national, avec 28,45% des voix, ne s’est pas qualifié pour le second tour.

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2 commentaires

  1. mais bien sur c’est une manipulation pour évincer le partie ump udi et comme ca on votera pour toulouze non mais allo quoi vous avez pas autre choses a faire . 3 jours d’itt en tant que infirmiere vous n’avez rien mr toulouze quel ridicule de votre part pour que vous puissiez gagner Dimanche vous n’avez pas trouver une autre solution a part mentir et manipuler mais bon bon vent

  2. Nous assistons depuis une quinzaines à une montée vertigineuse de la violence de toute nature, tant verbale (ou par le biais des incivilités quotidiennes) que physique, que dans notre jeunesse nous n’avions jamais connu : même le facteur en vélo-soles distribuait les pensions à domicile et recueillait les mandats sans jamais risquer ni vol ni agression malgré la petite fortune pour l’époque qu’il transportait sur lui.
    Tout cela devrait inciter nos politiques à réfléchir et à agir.
    Ce n’est pas acceptable de se faire agresser en pleine rue, que ce soit pour un adolescent pour le vol d’un portable, une personne âgée pour lui subtiliser son sac à main ou encore dans le cas présent un candidat (quel que soit son bord d’ailleurs !) en campagne électorale.
    Mais la violence hélas est aussi dans la bouche des élus, il suffit de regarder les séances de questions au gouvernement à la TV où nos ministres vocifèrent irrespectueusement leurs réponses aux honorables députés qui les interrogent : l’exemple ne devrait-il pas venir d’en haut… aussi ?
    Qu’est-ce que le mieux-vivre ensemble sinon la tolérance des idées des autres, l’ouverture des institutions à toutes les diversités (y compris… FN) et l’honnêteté dans l’argumentation du débat démocratique ?
    Que dire de plus sinon appeler au respect de tous par chacun !

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