Depuis le mercredi 19 février 2014, les salariés de l’usine Depalor de Phalsbourg, en Moselle, séquestrent 3 dirigeants, les empêchant ainsi de quitter les lieux. Les salariés réclament de meilleures négociations sur leurs conditions de départ.
Les 3 cadres sont retenus dans le bâtiment administratif de l’usine par une centaine de salariés.
Une réunion sur les conditions de départ des salariés avait lieu ce mercredi matin, et elle a visiblement mal tourné.
Les salariés de l’usine Depalor souhaitent l’intervention du groupe suisse Krono, auquel l’usine Depalor appartient, afin de débloquer le dialogue entre dirigeants et salariés.
Le patron suisse a, quant à lui, refusé d’intervenir tant que les cadres seraient retenus.
[note color= »#ffcc00″]Rappel des faits : l’usine Depalor de Phalsbourg avait été dévastée par un incendie en juillet 2013. L’annonce est tombée en décembre 2013 : elle ne sera finalement pas reconstruite, et laissera donc ses 142 salariés sur le carreau.[/note]Pour tenter de débloquer la situation, une réunion est prévue dans la matinée de ce jeudi avec le sous-préfet.
Trois cadres de l’usine Depalor de Phalsbourg (Moselle) sont actuellement retenus par des salariés.
bonjour je suis un employé de chez depalor , comme cela a deja été dit sur d’autre site ils ont été très bien traités ils étaient tous les 3 en compagnie de plusieurs garde du corps un huissier de justice pour constater les faits et des maitres chiens + plusieurs gendarmes présent en continu a proximité … je tiens juste a rappeler que le feu qui a détruit l’usine n’était pas un simple hasard il y a eu plusieurs dizaines de départ de feu dont 4 les 2 derniers mois et qu’ils sont juste en train de jouer la carte du temps pour arriver a la fin du délais et nous donner le minimum légal ( 5000E ça vous dit pour une dix ans de bon et loyaux service ) a bon entendeur on ne s’arrètera pas la !!!
Vous avez raisons ne vous laisser pas marcher dessus par c’est profiteurs, ça les arranges et c’est meme peut etre eux qui on fait ce qu’il faut pour en finir avec cette usine et, en construire une autre ailleur.