Dans le cadre de la semaine de l’intégration des étrangers primo-arrivants, le secrétaire général de la préfecture de la Moselle, Olivier DELCAYROU est allé à la rencontre de réfugiés accueillis au centre d’hébergement provisoire à Metz Sablon ce mercredi 13 octobre 2021.
Ouvert il y a 3 ans, ce lieu de transition héberge 50 personnes venant d’Afghanistan, d’Erythrée, d’Ethiopie, de Turquie, de Syrie, d’Albanie et de Bosnie.
Aidés sur différents volets tels que l’insertion professionnelle, le logement, la santé, la mobilité…, les 19 ménages qui ont tous obtenu la régularisation de leur statut sur le territoire français vont être accompagnés durant 9 mois par 4 personnes.
En parallèle, un travail est également fait en partenariat avec un centre psychothérapeutique et des centres d’insertion liés à la culture et au sport.
Les services de l’État, les collectivités territoriales et le tissu associatif local, travaillent au quotidien pour faciliter l’intégration des étrangers en situation régulière : formation professionnelle, accès à l’emploi et au logement, projets à visée sociale ou culturelle, mobilité, garde d’enfants, apprentissage du français, valeurs de la République et de la citoyenneté…
La semaine de l’intégration des étrangers primo-arrivants est voulue comme un moment destiné à valoriser les initiatives, les réalisations et la mobilisation continue de tous les acteurs qui se chargent de ces missions.
« L’idée, c’est vraiment de les aider sur un temps court pour leur donner tous les moyens d’être ensuite autonomes, et de pouvoir se débrouiller seuls.
indique Benjamin LAVANDIER, directeur d’hébergement adjoint en charge du CPH Adoma de Metz
Olivier DELCAYROU, secrétaire général de la préfecture de la Moselle, explique le rôle de l’Etat dans l’accompagnement des réfugiés qui ont obtenu l’asile :
Apolo BUNDI PARIS est en France depuis 2017. Le père de famille a vécu 9 mois au centre provisoire d’hébergement à Metz et raconte son parcours à notre micro :
La semaine de l’intégration 2021 s’étale du 11 au 15 octobre.
Quel honte réinsertion professionnelle. Ils bosseront jamais mais ils ont les dernier telephone et sint habillé en marque .et nous on a bossé 42 ans pour une retraite de misère. Je suis sur son mm pas vacciné. Et nous nos français sont aussi dehors. 33 familles logé deja dans des logements tt neuf .ma collègue cherche un logements on lui en donne pa .honte ville de METZ
Je suis entièrement d’accord avec vous