Rendez-vous Musiques du monde à ne pas manquer ce samedi 12 janvier à l’Arsenal, « Tabula rasa », Flamenco en Grande Salle en grande pompe à 20h30.
Israel Galván, chorégraphe et danseur espagnol, sacré à de nombreuses reprises (dont le Prix National de Danse en Espagne), est ici accompagné d’Inés Bacán au chant (a capela), et Diego Amador au piano pour un solo d’une intensité saisissante.
Durée : 1h10
Tarifs : de 6,50 à 26€ / Etudiants (Passeport Cult.) : 6,50€ / – de 26 ans ; RMiste ; Demandeur d’emploi : 8€
Né en 1973 à Séville, de parents eux-mêmes danseurs, Israel Galván s’est vu confronté dès l’âge de cinq ans aux rythmes des ballets et l’atmosphère des Tablaos, cabarets où se regardait et se dansait le Flamenco.
Très tôt il se familiarise à l’esthétique du geste, la puissance et la rigueur de la danse à laquelle il ne se consacre réellement qu’au début des années 1990.
Quatre ans plus tard il intègre la compagnie de danse Andaluza de Danza, évènement qui marque le début d’un parcours artistique jalonné de succès et couronné de nombreux prix.
Durant les quatre années suivantes Israel Galván multiplie les rencontres marquantes et les contributions à de nombreux projets chorégraphiques qui l’amèneront, en 1998 à présenter un spectacle de sa propre compagnie lors de la Xème Biennale de danse Flamenca à Séville. ¡MIRA! Los Zapatos Rojos remporte un vif succès et dévoile une nouvelle manière d’appréhender la danse.
Flamenco ! La révolution
Israel Galván impose un style, une manière de concevoir la chorégraphie, le geste, l’intensité.
Cette création lui offre de nouvelles possibilités, ouvre de nouveaux horizons. En 1999 il collabore avec le Ballet National d’Espagne et présente en 2000, à la XIème Biennale de danse Flamenca, « Metamorphosis » (inspiré de Kafka).
C’est une nouvelle façon de danser et de voir la danse. Et d’écouter, et de ressentir. Ces gestes sont la précision, la proximité, l’émotion en mouvement.
Israel Galván est né dans la danse et il fait naître ce qu’il danse, il s’approprie les codes d’un flamenco nouveau et pur.
J’aimerais bien faire pareil mais lui, dans ses gestes, il restitue l’histoire la force et le souffle, des voix qu’au travers de mes gestes je n’entends pas. Alors il faut le voir et vivre un peu cette danse là qui hurle dans une parfaite maîtrise du corps…
Inégalable !
Sources photographies: Xavier Sanfulgencio
Super billet thomas. Celà ne pressage que du bon pour l’avenir. Félicitation j’aime le style.
joli style, si avec ça on n’a pas envie d’aller voir le spectacle alors là … tu n’y peux plus rien!!!
wouaw, c’est super bien écrit! Et ça donne vraiment envie de voir ce jeune homme sur scène! merci!
=^w^=
Tu as déja des émules TOM ! C’est vrai que ca donne envie.
Salut Tom, je me présente, je m’appelle Manu et je fais partie des rédacteurs de tout-metz 😉
Je suis photographe et je te contacte afin de te faire une petite demande : si un jour tu as des pass photos pour des spectacles, j’aimerais bien savoir si tu pouvais m’en faire bénéficier… j’aimerais bien m’essayer à ce genre de spectacle… 😉
Merci d’avance et encore bienvenue dans l’équipe
Salut Manu ! Aucun problème ! Dès que j’ai davantage d’informations et si je peux obtenir les autorisations nécessaires pour qu’on se pointe avec objectifs de paparazzis et tout, je te tiens au courant ! Ce sera avec plaisir ! Et merci pour l’accueil encore une fois ! A bientôt !