Actualité locale & société

Photo reportage. Inédit, dans les bâtiments militaires clos de la BA 128

Si vous n’y avez jamais travaillé (et encore, ou sauf cas d’exception), impossible de visiter la plupart des bâtiments militaires de la Base Aérienne 128.

[note color= »#80ffff »] Du bureau du général des forces aériennes tactiques au cinéma de la base, de la maison de ce même Général au célèbre mess, en passant par les hangars abritant avions de la guerre électronique ou ceux des hélicoptères… Tout-Metz vous emmène à la découverte des lieux grâce à ce reportage photo commenté.
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Quasi inaccessible aux civils du temps de son exploitation par l’armée de l’air, puis bouclée pendant les négociations entre l’Etat et Metz Métropole, la BA 128 pose son immense emprise entre Montigny les Metz, Marly (Frescaty) et Augny. Les curieux et curieuses qui sont passés le long de ses clôtures ont eu une seule occasion d’accéder à une petite partie du complexe, lors des journées portes ouvertes organisées en juin 2011 à la fermeture de la BA 128 (voir photos ici). La seconde fois, en septembre 2015, à l’occasion des Terres de Jim.

Gardée nuit et jour et occupée par un escadron de la gendarmerie nationale, elle est aussi habitée par les chiens de garde d’une entreprise de sécurité. En son sein, l’armée y a conservé une emprise entièrement ceinturée de barbelés : le fort St Privat (voir en bas de page).

La BA 128 telle que vous la découvrirez sur ces photos va, dans les semaines, mois et années à venir, profondément changer de visage. Deux photographes professionnels, Jean-Christophe VERHAEGEN et Emmanuel CLAUDE de l’agence FOCALIZE ont immortalisé les lieux pour Tout-Metz au cours de l’été 2015, pour vous les faire découvrir dans ce photo reportage « grand format ».

L'entrée principale de la BA 128, voici à peu de choses près tout ce que la plupart d'entre nous peut voir de la base depuis des dizaines d'années. Créé en 1909 lorsque Metz était encore sous l'annexion allemande, elle a été conçue pour accueillir des ballons dirigeables (les fameux Zeppelins), puis a rapidement servi de base d'entraînement aux monoplans et aux biplans de l'armée de l'air prussienne. Photo : 10/08/2015
L’entrée principale de la BA 128, voici à peu de choses près tout ce que la plupart d’entre nous peut voir de la base depuis des dizaines d’années. Créé en 1909 lorsque Metz était encore sous l’annexion allemande, elle a été conçue pour accueillir des ballons dirigeables (les fameux Zeppelins), puis a rapidement servi de base d’entraînement aux monoplans et aux biplans de l’armée de l’air prussienne. Non loin de cette entrée trônait le fuselage d’un avion pointant vers le ciel, il a depuis été démonté. La base aérienne prend le numéro 128 en 1955, les derniers escadrons quitteront la base en 2011. Photo : 10/08/2015
L'un des rares bâtiments véritablement visibles depuis l'extérieur de la BA 128 : la tour de contrôle, surplombant les pistes. Les équipements ont été retirés courant 2015. Le bâtiment, emblématique de l'histoire du lieu, sera probablement conservé dans le futur malgré les transformations profondes que subira la BA 128, et bien qu'il soit difficile de lui trouver une fonction réellement opérationnelle. Une passerelle quelque peu dangereuse permet de faire le tour à l'extérieur.
L’un des rares bâtiments véritablement visibles depuis l’extérieur de la BA 128 : la tour de contrôle, surplombant les pistes. Le bâtiment, emblématique de l’histoire du lieu, sera probablement conservé dans le futur malgré les transformations profondes que subira la BA 128, et bien qu’il soit difficile de lui trouver une fonction réellement opérationnelle. Photo : été 2015
Vous voici à l'intérieur de la tour de contrôle, qui se trouve dans un relatif mauvais état faute d'entretien. Les derniers équipements techniques ont été retirés courant 2015. Une passerelle quelque peu dangereuse permet de faire le tour à l'extérieur. Photo : 10/08/2015
Vous voici à l’intérieur de la tour de contrôle, qui se trouve dans un relatif mauvais état faute d’entretien. Les derniers équipements techniques ont été retirés courant 2015. Trop lourd, le support de console couché au sol devra être découpé sur place pour pouvoir être évacué. Une passerelle quelque peu dangereuse permet de faire le tour à l’extérieur. Photo : 10/08/2015
la salle de cinéma et de conférence de la BA 128
La BA 128 était un espace ou vivaient des personnels militaires en permanence. Cette salle de près de 200 places assises faisait office de salle de cinéma, avec des projections une à deux fois par semaine en soirée pour les appelés du temps du service militaire. Lorsque cela était nécessaire, la salle servait aussi de salle de conférences pour permettre au chef de corps de parler au plus grand nombre. Photo : 10/08/2015
Reportage sur la BA 128, le 10 aout 2015 à Augny
Autre bâtiment emblématique de la base aérienne de Frescaty : le mess mixte. Construit à la fin des années 60 suite à l’incendie qui a ravagé le mess précédent, sa conception cylindrique sur 3 étages a été confiée à l’architecte messin Roger Gaertner (élève de Le Corbusier). Photo : 10/08/2015
la salle de réfectoire principale du mess mixte de la BA 128
Vous êtes au premier étage du mess mixte (sous-officiers et hommes du rang) dans la salle circulaire principale du réfectoire. Les samedis et dimanches, sur demande préalable, la famille des militaires pouvait parfois être autorisée à venir y déjeuner. A l’intérieur du cylindre central se trouve la cuisine. Photo : 10/08/2015
La cuisine du mess mixte de la BA 128 à Marly Frescaty
Au centre du bâtiment (1er étage) se trouve la cuisine du mess. 3500 repas étaient servis midis et soirs par celui que l’on surnommait ici « l’affameur ». De l’avis même de ceux qui y ont goûté, la cuisine y était de bonne qualité, et offrait le choix entre 6 plats différents. Il se dit que même les officiers, qui avaient leur propre mess dans un autre bâtiment, préféraient venir s’y restaurer. Photo : 10/08/2015
Au-dessus de la salle des repas, on retrouve d'un côté tous les services administratifs et de commandement liés au mess proprement dit. De la on gérait les approvisionnements pour sustenter les 1200 sous-officiers, 400 officiers, et 2000 appelés. Au même étage, un bar, mixte lui-aussi. Le dernier étage donne directement sur une terrasse circulaire, avec vue imprenable sur la ZAC d'Augny. Photo : 10/08/2015
Au-dessus de la salle des repas, on retrouve d’un côté tous les services administratifs et de commandement liés au mess proprement dit. De la on gérait les approvisionnements pour sustenter les 1200 sous-officiers, 400 officiers, et 2000 appelés. Au même étage, un bar, mixte lui-aussi. Le dernier étage donne directement sur une terrasse circulaire, avec vue imprenable sur la ZAC d’Augny. Photo : 10/08/2015
Bâtiment d'habitation des militaires sur la BA 1287
Voici l’un des plus récents bâtiments d’habitation de la BA128. Ici étaient logés les cadres qui vivaient sur la base, non loin des bâtiments plus spartiates qui hébergeaient les appelés. 60 bâtiments de la base (hangars et bureaux confondus) sont dores-et-déjà condamnés à être détruits, mais pas celui-ci qui est encore dans un relatif bon état général, même s’il nécessite déjà certains travaux. La base n’ayant ni fluides, ni électricité, certains bâtiments se délabreront vite et s’ajouteront à la liste des bâtiments à supprimer. Photo : 10/08/2015
intérieur du lieu d'habitation des militaires à la base aérienne de Marly Frescaty
Vous voici à l’intérieur du bâtiment de logement des cadres de la base. Chaque chambre était équipée d’une salle de bains et d’une pièce de vie d’environ 15 m². Le plus grand de ces bâtiments compte environ 90 chambres. Photo : 10/08/2015
Bâtiments d'habitation des appelés à la BA 128
Ces bâtiments étaient destinés à héberger les appelés lorsque le service militaire était encore actif. Il est difficile aujourd’hui de connaître le nombre d’appelés qui sont passés par là. Photo : 10/08/2015
le gymnase de la BA 1028
Non loin du château d’eau de la base se trouve un gymnase aux dimensions raisonnables. Le gymnase était équipé d’appareils de musculation et de vestiaires. Photo : 10/08/2015
Sas de sécurité - accès aux bureaux de commandement de la FATAC à la BA 128
Voici le sas de sécurité du bâtiment PC2, qui hébergeait le bureau du général 4 étoiles commandant des forces aériennes tactiques (FATAC). Assez peu de personnes avaient accès à ce bâtiment, il fallait montrer patte blanche et (pour ceux qui n’y travaillaient pas) avoir une raison identifiée pour passer ce sas et y entrer. Ce bâtiment clé de la BA 128 étaient en lien avec le PC enterré de la FATAC situé dans un fort à quelques kilomètres de là. Photo : 10/08/2015
fresque du QG de la FATAC à la BA 128
Dans l’escalier qui mène à l’étage du général de la FATAC se trouve cette fresque inattendue qui, pour des raisons de fragilité, n’a pas pu être ôtée du mur. Ses détails évoquent les missions de la FATAC. Fascinant. Photo : 10/08/2015
bureau du général de la FATAC base aérienne 128 Metz Frescaty
A quelques rares exceptions, les bureaux de la BA 128 sont tous à peu près identiques, mais pas celui-ci. Il s’agit du bureau du général à la tête des forces aériennes tactiques (FATAC), qui n’était ni plus ni moins que le patron de tous les avions de chasse français. Les opérations militaires engageant la force aérienne étaient décidées à Paris, mais c’est depuis ce bureau que les conditions opérationnelles des missions étaient élaborées puis mises en place. A cet étage, on trouvait le bureau du Général en second et des personnels triés sur le volet. Mis à part ceux travaillant dans le bâtiment, rares sont les militaires qui ont franchi cette double porte et foulé l’épaisse moquette claire qui recouvre le sol. Lorsque cela était le cas, ce n’était que pour y recevoir remerciements particuliers, ou sévère soufflante. Photo : 10/08/2015
bâtiment administratif de la base aérienne 128
Voici le plus haut bâtiment de la base aérienne, une succession de bureaux sur 5 étages. Bâti en 1972, il hébergeait les services administratifs, les ressources humaines et les services financiers qui avaient été rapatriés de Dijon à Metz à la fin des années 60. Photo : 10/08/2015
hangar HM14 de la base aérienne 128de Metz Frescaty (hangar des hélicoptères)
La base aérienne 128 compte des dizaines de hangars, celui-ci se nomme HM14. Il accueillait les hélicoptères de la base ainsi que pilotes, personnels du service et techniciens. Photo : 10/08/2015
HM14 hangar qui hébergeait les hélicoptères de la base aérienne 128
Vous êtes à l’intérieur du HM14, le hangar abritait au maximum 10 hélicoptères, il y étaient stockés à l’abri des prises de vues aériennes et entretenus. Composé de deux parties (on distingue un resserrement sur le cliché) la plus grande partie pouvait contenir 7 hélicos, la seconde 3. Photo : 10/08/2015
Appelé aussi hangarette, chacun de ces abris pouvait stocker un seul avion. Ils sont pour la plupart disséminés à proximité de la tour de contrôle. Globalement, la base aérienne d'Etat major ne comportait qu'assez peu d'avions (sauf avant 1965, où elle accueillait des bombardiers). Un mirage était ensuite maintenu en permanence sur la base, mais le général de la FATAC l'aurait fait déplacer sur une autre base suite à un rase-motte un peu trop audacieux. Photo : 10/08/2015
Appelés aussi hangarette, chacun de ces abris pouvait stocker un seul avion. Ils sont pour la plupart disséminés à proximité de la tour de contrôle. Globalement, la base aérienne d’Etat major ne comportait qu’assez peu d’avions (sauf avant 1965, où elle accueillait des bombardiers). Un mirage était ensuite maintenu en permanence sur la base, mais le général de la FATAC l’aurait fait déplacer sur une autre base suite à un rase-motte un peu trop audacieux. Photo : 10/08/2015
Reportage sur la BA 128, le 10 aout 2015 à Augny
Voici le hangar HM17, qui abritait les avions dits de guerre électronique (les Noratlas, appelés aussi les grandes oreilles). Un lieu sous très haute sécurité à l’intérieur même de la base, dont il était séparé par des grilles et son propre poste de sécurité. Peu de personnels y avaient accès. Photo : 10/08/2015
intérieur du hangar HM17 de la base aérienne 128
Nous sommes à l’intérieur du hangar HM17 « guerre électronique », une véritable cathédrale où étaient garés et entretenus les avions de type Noratlas. Lors d’un vol, l’un d’entre eux aurait perdu une hélice après son décollage, celle-ci serait tombée à proximité de la centrale électrique de La Maxe. L’avion est rentré sans encombre à la base. Photo : 10/08/2015
Reportage sur la BA 128, le 10 aout 2015 à Marly Frescaty
Voici l’intérieur du HM11, le hangar logistique de la BA 128 où étaient entreposés le matériel et les pièces de rechange des équipements. Ce service était relié informatiquement à tous les autres espaces de stocks de pièces des autres bases aériennes de France. Des camions tournaient en permanence entres les bases afin d’acheminer le matériel demandé par l’une ou l’autre d’entre elles et qu’elles commandaient. Photo : 10/08/2015
Reportage sur la BA 128, le 10 aout 2015 à Marly Frescaty
La piste d’atterrissage de la base aérienne 128 de Marly Frescaty. Le tristement célèbre baron rouge, un as de l’armée allemande, se posera notamment sur l’aérodrome pendant la 1ère guerre mondiale. Entre les deux guerres, Jean Mermoz passera près d’un an ici. La piste actuellement en place a été inaugurée en 1951, tout ou partie de celle-ci pourrait rester dans le futur aménagement. Photo : 10/08/2015

La maison du Général

La maison du général commandant la FATAC de la base aérienne 128.
La maison du Général commandant la FATAC se situant sur la BA 128. Située de l’autre côté de la base dont elle est séparée d’une route très empruntée par les automobilistes pour rejoindre l’autoroute, ou la ZAC d’Augny d’un côté, Marly, Montigny et Metz de l’autre. Photo : 10/08/2015
Voici la façade arrière de la maison du colonel de la BA128. L'étage du bas était réservé au personnel de support (cuisine et ménage). Les baies vitrées donnent sur un parc arboré directement relié au petit bois longeant la départementale où l'on pouvait apercevoir des biches.
Voici la façade arrière de la maison du Général. L’étage du bas était réservé au personnel de support (cuisine et ménage). Les baies vitrées donnent sur un parc arboré directement relié au petit bois longeant la départementale où l’on pouvait apercevoir des biches. Photo : 10/08/2015
Nous voici à l'intérieur de la maison du colonel, au rez-de-chaussée. L'espace est un salon de grand volume avec cheminée, donnant sur une sorte de salle plutôt à vocation réceptive derrière l'immense baie vitrée.
Nous voici à l’intérieur de la maison du général, au rez-de-chaussée. L’espace est un salon de grand volume avec cheminée, donnant sur une sorte de salle plutôt à vocation réceptive derrière l’immense baie vitrée. La maison ne sera pas abattue, elle pourrait devenir un restaurant dans les prochaines années. Peut-être même un restaurant gastronomique, ou tourné vers le haut de gamme. Photo : 10/08/2015
Voici, a priori, la chambre du général. Elle est située à l'étage. Rien d'exceptionnel ni de luxueux. L'étage distribue sur plusieurs chambres de bonne taille sans opulence. Le colonel vivait ici avec sa famille, il devait se trouver à proximité immédiate de la base aérienne.
Voici, a priori, la chambre du général de la FATAC (le chef de corps de la base étant lui basé au quartier Raymond). Elle est située à l’étage. Rien d’exceptionnel ni de luxueux. L’étage distribue sur plusieurs chambres de bonne taille sans opulence. Le colonel vivait ici avec sa famille, il devait se trouver à proximité immédiate de la base aérienne. Photo : 10/08/2015
Reportage sur la BA 128, le 10 aout 2015 à Marly Frescaty
A l’arrière de la maison du général se trouve un espace quelque peu bucolique. Trois bassins successifs sont positionnés sur la pente descendant vers l’actuelle ZAC d’Augny. Ici se situait également le château de Frescaty, bombardé et détruit par les américains lors de la 2nde guerre mondiale. Photo : 10/08/2015

Nous remercions Metz Métropole pour avoir facilité et autorisé la réalisation de ce photo reportage. Merci également à nos trois guides pour leur accompagnement, et aux deux photographes pour leur travail, nous aurions pu publier bien d’autres clichés, mais nous avons été obligé de faire des choix.

Le fort St Privat ?

La base aérienne 128, renommée « Plateau de Frescaty » en 2015 au point de départ de son remaniement, appartient à Metz Métropole. Enfin presque, car à l’intérieur de la base se trouve une enceinte qui dépend toujours de l’armée : le fort St Privat.

Il s’agit d’une structure militaire construite par les allemands, qui occupe pas moins de 8 hectares sur les 378 que compte la base aérienne, entièrement cerclée de fils barbelés.
[note color= »#80ffff »] Nous avons obtenu l’autorisation du Ministère de la défense d’entrer dans le fort St Privat pour en photographier les entrailles et vous le faire découvrir… lors d’un prochain photo reportage qui sera publié prochainement. N’hésitez pas à vous abonner à nos réseaux sociaux et / ou à notre lettre d’information par e-mail pour ne pas manquer cette publication !
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Voici tout de même un premier cliché pour vous donner l’eau à la bouche…

Porte d'entrée du Fort St Privat - Reportage sur la BA 128, le 10 août 2015 à Marly Frescaty
La porte d’entrée du Fort St Privat Reportage sur la BA 128, le 10 août 2015 à Marly Frescaty
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123 commentaires

  1. Bonjour j ai mon papa qui a fait sa carriere ala B A 128 toute mon enfance que de souvenir je ne voudrais pas voir tout c’est locaux entrain de pourrir pourquoi ne pas faire quelques choses qui resterai dans l aeronotique Monsieur les Elus réfléchissais bien merci pour c’est belles photos meme si cela me rend triste

      1. bjr je suis ghislaine gattelet c est mon papa je vous laisse mon adresse mail je pense que mon papa serait content d avoir de vos nouvelles il a tjrs la nostalgie

    1. Voir le livre sur la BA 128 dispo depuis 3 ans « Metz la sentinelle » écrit par un de nos membres.
      signé : Conservatoire Aéronautique et historique de Metz Frescaty

  2. Dans le bâtiment le plus haut, la « Direction Technique de la FATAC 1 ère RA » occupait les premier et deuxième étages

    Comme son nom l’indique la « technique » – aéronautique – groupe électrogène – véhicules – logistique – et tout autre matériel « technique » régnait en maitre.

    1. Bonjour,
      Petite précision concernant le bâtiment le plus haut de la base. A sa création en 1972, il a hébergé les directions régionales qui avaient quittées Dijon.
      Au RdC, il y avait la direction du service de santé. Au 1er et 2eme 2tage était installée la direction du commissariat; Da direction technique occupait le 3eme et 4eme étage.
      C’est seulement au départ des directions que ce bâtiment fut occupé entre autre, par les services administratifs et financiers de la base..

  3. Merci de penser MM. les élus à faire de ce magnifique site un parcours de santé et des possibilités de faire du sport.
    Il n’y a pas actuellement de site comme dans d’autres villes et endroits pour se promener les week -ends en famille et pouvoir faire un sport tel que de la marche, des jeux pour les enfants etc…

    1. Les environs de Metz comptent assez de parcours de santé et de lieux de promenade.et de marche en tout genre ; ces lieux sont d’ailleurs abondamment utilisés.

  4. J’ai passé plus de vingt ans dans cette base, d’abord à Tournebride, puis, à la GE et au CIGE. J’ai participé à la fermeture de la BA 128 c’est triste de voir une étendue et des bâtiments en si bon états
    laissés à l’abandon. Merci à vous pour ses magnifiques photos.

    1. Salut « Boudoum » j’ai gardé un bon souvenir de la BA 128 et de toi aussi bien sûr !
      La Bretagne te salue amicalement !
      Yvon

  5. Je suis un ancien du CDCM
    Pourquoi ne montre t ‘o n le massacre opéré par les Roms autorisés à séjourner par les autorités sur les bâtiments de Tournebride?

    1. Salut à toi René, bonjours aussi à Finfin.
      Après Metz : Bordeaux Mérignac (1998-2003), Djibouti (2 ans) et à nouveau Mérignac (3 mois) où j’ai eu la retraite en 2006 je suis devenu charentais.

      LOLO

  6. Bonjour aux anciens de la base,
    Je suis arrivé sur la BA128 en mars 1968 en provenance du Sénégal. J’ai trouvé la transition un peu difficile compte tenu de la différence de température mais l’on s’y fait rapidement. Affecté à la SSIS nous prenions les permanences « piste » près de la tour de contrôle dans un hangar y attenant. Mais sur la photo actuelle de la tour de contrôle le hangar a disparu!!Je ne reconnais pas les lieux. J’aurais beaucoup d’anecdotes à raconter mais cela serait trop long à écrire ici. Toutefois ,moi, homme du midi, j’ai beaucoup apprécié de vivre dans l’est de la France et une de mes filles y est née et j’ai même fait construire une maison à Pouilly, village non loin de la base. Donc j’ai beaucoup de souvenirs chers à mon cœur. J’ai trouvé le Messins très cordiaux à partir du moment où ils vous apprécient. J’ai aussi pu travailler et m’exprimer dans mon service dans les meilleures conditions possibles car l’on était suivi, aidé, et encouragé .J’ai beaucoup aimé mon chef d’alors le lieutenant Lemaire maintenant, décédé. J’ai donc pu préparer le concours d’officier technicien dans d’excellentes conditions et j’ai porté le galon de sous/lieutenant en 1970.J’ai quitté la BA128 pour la base de Nîmes pour y rejoindre les commandos de l’air. Bien entendu, de revoir les photos de ces bâtiments m’a fait chaud au cœur et a ravivé des souvenirs mais elles n’ont pas empêché la nostalgie et la tristesse de m’envahir et de constater que ces bâtiments magnifiques vont se dégrader rapidement si rien n’y est fait. Merci au photographe, il a bien fait son travail.

    1. BONJOUR

      Je suis un ancien appeler de la BA 128 classe 69/3 et affecté au garage comme chauffeur du colonel SIRGANTcommandant de la base dans un premier temps
      que vous avez du connaitre et ensuite chauffeur de bus ,j ai connu le GENERAL FABRI le lt.colonel MESPLIE commandant en second en ce moment la,
      vraiment triste de voir cette base aerienne démmolie ,mais quand meme de bon souvenir.
      bonne reception a vous
      BERNARD GUTHMANN

      1. bonjour , par curiosité je découvre presque 50 ans après mon service militaire le devenir de ce site ! j’y étais également de novembre 69 à début 71
        J’étais au PC base , j’étais affecté seul dans mon bureau à un pignon du bâtiment face à un hangar , je faisais signer des messages codés sur l’état de la base au lieutenant colonel Meslié en effet ou au Colonel Sirgant ( sa secrétaire de direction n’était pas très aimable avec les appelés ! )
        j’appréciais la mentalité de ce service des MO compris de l’ensemble des officiers pilotes que je rencontrais tous les jours pour ma mission
        tu dois te rappeler d’un chauffeur de Cdt d’un service des Moyens Généraux ,Daniel HANRIOT que je revois régulièrement étant également breton

        amicalement

      2. Je suis aussi de la 69/3 j ai fait mes classes à Tournebride puis le reste de mon service a l ERT j’ai été libéré le 17 Juillet 1970 dans le cadre de la réduction du service militaire Je ne suis jamais retourné à Metz

        1. Bonjour
          VALLÉE
          ça ce peut que ton prénom soit YVON que j ai connu, par contre j étais de la casse 69/2 et pas de la 3 comme indiquer plus
          haut et libéré le 28 juillet 1970
          bonne réception
          BERNARD GUTHMANN alias le SPOUNTZ puisque j étais alsacien

          1. BONJOUR
            VALLÉE
            ça se peut que ton prénom soit YVON que j ai connue, j étais de la classe 69/2 et non de la 3
            comme indiquer plus hautet liberé le 28 mai 1970
            bnne réception
            bernard guthmann

  7. cette base fut ma première affectation ! que de souvenirs ; ici j’ai eu d’excellents souvenirs et des amis de toujours..J’ai découvert la Lorraine et bien que très éloignée
    de chez moi, j’ai apprécié ce coin et ses habitants. Ne détruisez pas la BV

  8. Comme je l’ai déjà dit les choses qui fâchent ne sont pas editées. J’ai passé huit ans au CDCM au magnifique camp de Tournebride. Ce qui me crève le coeur, c’est que les autorités l’ont ouvert au Roms pendant plus de trois mois, et qu’il a été saccagé, le mot est faible, mais ces images ne sont pas publiées et mon mail jeté à la poubelle.

  9. je suis un ancien de la 128 où j’y ai passé 17 ans de ma carrière militaire aux Services Administratifs. Bien entendu de revoir ces photos, quelques larmes ont coulé et énormément de souvenirs remontés à la surface

  10. quel crève cœur de voir ce que c’est devenu . j’ai passé mes plus belles années de militaire sur cette base qui a été fermée pour raisons politiques.
    Quand le livret blanc est sorti en juillet 2008 , personne ( ou très peu) ne s’attendait a cette fermeture, pour nous militaire , on pensait que c’était luxeuil qui était sur la sellette. Mais c’était sans compter que le maire de luxeuil était ( est ?) de la famille a sarko …
    sarko de droite , le maire de metz de gauche (antimilitariste ) , le choix était vite fait !!!
    quand je passe devant , ça me fout les boules de voir ce gachis !!
    même pas un avion en stèle dans un rond-point pour se souvenir du grand passé aéronautique de la région , lamentable !

    au fait c’est bizarre , il n’y a pas de photos du saccage fait par  » les voyageurs » au CDCM !! quand vous êtes a cora , on peut apercevoir , les vitres cassées , les portes fracturées …
    j’étais a l’etm de 2001 a 2003 puis a la goulotte de 2005 a la fermeture , sniff !!

  11. Bravo pour ce reportage. Nous étions avec mon amie Jocelyne à la même période de ce reportage à avoir fait le tour des ensembles militaires de l’Armée de l’Air.
    Avons visité Fort de Guise – Fort de Moscou – Fort de Liepzig que des ruines.
    Pour l’un d’entre eux un téléphone S63 mural + 1 interphone encore alimenté en énergie.
    Nous avons terminé par l’hôpital militaire où mon amie était secrétaire médicale au CMNPN centre de test pour les pilotes …
    Triste de voir ces grands ensemble abandonnés et entourés de grillages recouverts de ronces ou autres plantes vertes …
    Par contre avons découvert du moins pour moi cette très belle ville.
    Je n’y étais allé qu’à 20 ans en visite professionnelle au Fort de Guise.
    Un ancien mécanicien fil de l’armée de l’air P54 de Saintes
    Nostalgique j’apprécie toujours mes visites où j’ai vécu une partie de ma carrière et où j’ai laissé de nombreux amis.

  12. C’était ma première base et une mutation qui m’envoyait à 900km de chez moi. J’ai travaillé à l’ERT pendant 8 ans et je garde de très bons souvenirs de cette base. Je déplore également l’accueil des roms au CDCM qui on remercié la ville en dégradant tous les bâtiments mis gracieusement à leur disposition.Merci pour toutes ces photos souvenirs.

  13. Hé oui, tout a un terme, sauf les impôts bien sûr !..
    Ce pays nous habitue depuis des décennies à galvauder tout son patrimoine.
    Aucune raison que cela change, je viens de prendre la quille après 40 années…

  14. bonjour……..je suis un appelé ,j’ai fait une année là-bas …..j’étais coiffeur / au foyer les WE / et projectionniste au cinéma……j’y ai passé une année formidable, c’était en 1970/71…..étant de la VENDEE c’est à dire à 1000 Kms de chez moi je ne rentrais qu’une seuls fois par mois en permission et encore !!! donc j’ai passé beaucoup de mon temps dans cette base ……dommage de voir une partis de ma vie partir

    1. bonjour, je suis aussi un appelé en 1970:71. J’étais à l’état major dans le service des effectifs avec le chet Bellevoix et le lieutenant Laignel (pardonnez l’orthographe ). Un WE sur deux j’étais de permanence à l’entrée des bureaux du Général. Très sympa ce Général. Je garde de très bons souvenirs de cette base. Quelle dommage de la voir dans cet état !!!!!! JM DULONGCOURTY

  15. J’ai fait mon service militaire 63/4 à Frescaty
    J’étais affecté au service stbs bâtiment situé sur la route f’Augny de janvier 64 à février 65
    Que de souvenirs

    1. Originaire de Cherbourg, J’y étais aussi .. de novembre 63 à mars 65.
      A la 9ème E.C, où je n’ai connu que des types super (qui m’ont même fait faire mon baptême de l’air, de nuit de Metz à Reims et retour) !
      Excellents souvenirs de tous !

  16. Bonsoir à tous.
    Cette base me tient vraiment à cœur, car mon grand-père que je n’ai jamais connu y a séjourné.
    Si les informations que l’on m’a données sont justes, il y était en 1954. C’était un G.I. Américain.
    J’aurais souhaité savoir si quelqu’un avait la moindre idée d’où je pourrai trouver des infos sur lui, car je n’en ai aucune à part son prénom, son nom (mauvaise orthographe), sa taille.
    Je remercie d’avance la ou les personnes qui pourraient m’aider, merci beaucoup !!!

    1. De deux choses l’une, ou votre grand père était stationné sur la base proprement dite en construction, au 45th OLAM (gestion d’un stock d’avions légers et d’hélicos de l’US Army) qui a quitté la base en 1954 pour Sandhofen en Allemagne ; ou bien il stationnait à Tournebride également tenu par l’US Army jusqu’en 1965 avant la reprise par l’armée de l’air. Vous rapprocher de l’attaché militaire auprès de l’ambasse US à Paris.

  17. ICI BITOS LEADER
    Eh toi là-bas qui ne me regarde pas,souviens toi de moi.Message reçu BA 128 :appel à tous les camarades, le temps de la mobilisation a sonné.Où que tu sois ,viens avec moi et le conservatoire aéronautique BA 128 vivra .

  18. J’ai servi à Metz Frescaty dans les années 1959 et 1960, à la 9ème Escadre de Chasse avec des F84F. On a fait des missions en Algérie où les escadrons étaient détachés à Boufarik pour des missions de bombardements dans les Aurès. J’étais de St Etienne, et pour partir en permission, le commandant de la 9ème Escadre de Chasse, le Cdt Perfettini m’emmenait en MS760 PARIS

  19. ce fut ma 1ère base après Rochefort et Saintes.J’y étais affecté aux MO à la S.A.L.E,où y était affecté le Mirage III de Stasbourg pour l’état Major de la 1ère RA et FATAC, 1 T33,et 3 Fouga….j’y étais de janvier 81 à avril 83.De bons souvenirs,de très bons moments passés dans l’équipe,et avec de bons amis messins civils…. je suis tristes de voir tout ceci diparaitre…

  20. Et pourquoi aucun compte n’est demandé à ceux qui ont refusé de rassembler sur ce site tous les militaires de la place de Metz plutôt que de les disperser dans de multiples endroits de la ville. Beaucoup de structures de restauration, des véhicules en quantité, etc…. A côté de ça, il faut économiser et poursuivre les déflations. Bon, il doit bien y avoir quelques raisons qui nous échappent !!!

  21. Bonjour,
    Que de souvenirs de la ba 128 , je suis du contingent 92/08 et j’étais au garage comme chauffeur de Renault 4 , Peugeot 305, Citroën visa, ect …il y avait Monsieur Muller comme civile et bien d’autres que je n’oublie pas malgré les 22 années depuis la fin de mon service.
    Merci pour ce reportage, j’ai passé dix mois inoubliables sur cette base après avoir fais mes classes au fort de Plappeville hélas lui aussi à l’abandon.

    1. Que de bon souvenir,jetai de la 92 06 mr muller je men souviens comme si cetait hier ,nous avions feter la st eloi ensemble ainsi quavec dautres camarades .
      Au passage je les salut tous.

  22. Moi, j’y étais, la 85/02, enfin j’étais affecté au fort de Moscou, et je suis passé sur la base, pour quelques jours de trous!!!
    C’est toujours dommage de voir des lieux de vie laissés à l’abandon

  23. Je suis arrivée caporal-chef CE1 à la Base de Metz Frescaty, ma toute première affectation. Que de merveilleux souvenirs inoubliables. Merci à ceux que j’ai rencontrés de m’avoir offert mes plus belles années militaires. Je serais enchantée de lire de vos nouvelles. Reportage photo magnifique ! Merci !

    1. Bonjour Renée,

      Je me souviens de cette excellente secrétaire que j’avais aux services techniques de l’Escadron de Transport et d’Entraînement 041 dans les années 85 à 89.
      Il y avait parfois des moments difficiles mais que de bons souvenirs.
      Dommage que dans ces photos on ne retrouve aucune vue de notre escadron.
      J’ai passé au total 21 ans sur cette base, forcément ça laisse des traces…
      Avec mon meilleur souvenir.

  24. appelé du contingent 90/O6 que des souvenirs de METZ-FRESCATY , J AI effectuer mes classes au fort de Plappeville,puis ventiler dans le CRI , FORT DE GUISE, LA FOLIE et bien d ‘ autre …. CONNAIS TRÈS BIEN les lieux ainsi que le mess sous officier et officier donc j ‘ ai terminé mes 8 mois étant cuisinier de métier, très agréable a travailler,
    SUPER PHOTO ET SOUVENIR AVEC , POURQUOI détruire un chef d ‘ oeuvre , un appelé du 90/O6 , triste -?- Q R –

  25. En 1976 venant de la BA de N^mes également fermée, j’ai passé + de 15 ans à la BA128. J’ai le PC basa, les Services administratis, la Chancellerie FATAC et j’ai terminé ma carrière à la DT en 1993.
    Jean-Charles nous avons joué ensemble dans l’équipe de foot des SA et nous avions perdu en finale contre le GET. Nous avions inauguré le terrain de foot.
    Quand je passe devant la BA 128 j’ai le coeur gros et quelle tristesse. Au moins que cette base serve à des entreprises et créer des emplois.

    1. Bonjour, es-tu germain GARCIA dont j’étais voisin dans la batiment st exupery à MONTIGNY en 1977-1978 ?
      Si c’est le cas j’aimerais bien avoir de tes nouvelles
      Dans cette attente
      cordialement
      Alain

  26. J’étais un appelé du contingent 87/12 fait mes classes au fort de plappeville ensuite fait pleton d’élèves grader où j’ai fini sergent affecter par la suite garage où je suis devenue chauffeur du lieutenant-colonel pluviner command en second de ba 128 je me suis engager 5 ans sur la base que de bon souvenirs mais très triste de voir cette base fermer et les bâtiments partir en lambeaux et par la suite je suis parti dans le civil en Charente

  27. J AI FAIT PARTIE DE LA CLASSE 72-04 QUE DE BONS SOUVENIRS SUR CETTE BASE ET QUE DE BEAUX BATIMENTS LAISSES AUJOURD HUI A L ABANDON . J ETAIS AFFECTE A LA STEM ET ON BOSSAIT AU FORT DE GUISE , ON LOGEAIT A PLAPPEVILLE , QUE DE BONS COPAINS QUE SONT ILS DEVENUS ? QU EST IL DEVENU DU FORT SOUTERRAIN DE GUISE ?

  28. Bonjour à tous, j’étais présent à la BA128 de fin 1969 à 1971.Classe 68/5 à Nimes, j’ai rejoint Rochefort puis Metz j’étais affecté au CEP82/351 c’est à dire au centre d’exploitation photos ou entre autre nous équipions les mirages III R et faisions les divers reportages photo pour l’armée de l’air. Je me souviens des bons et aussi des mauvais moments passés à la BA. Souvent désigné d’office en tant que sous-off pour encadrer les pelotons d’appelés au fort de Plappeville que j’ai exploré à mes moments perdus je garde néanmoins d’excellents souvenirs de cette pèriode. C’est le Général Fabri qui commandait à l’époque la FATAC 1ere RA (décédé depuis). Un bon copain était le Sergent chef Vatin perdu de vue à mon départ en 71. Les méchouis, les gardes, les permanences au volant de la Jeep Willis de l’unité…..que de bons souvenirs….Mon dernier mois d’armée à luxeuil avant de rejoindre la vie civile, mon parcours personnel a été empreint de mon passage dans l’armée de l’air et de ce que j’y ai appris. J’ai terminé ma carriere dans le pétrole dans le sud-ouest ou maintenant je coule une retraite normale

  29. Bonjour
    J’étais du contingent 73/06.Je logeai au fort de Plappeville qui est dans un triste état maintenant,et je travaillais au fort de Guise comme mécano fil,A l’époque ils y avaient encore les télétypes pour transmettre les messages.Je garde que de bons souvenirs de cette époque malheureusement révolue

  30. Bonjour

    J’étais du contingent 73/06.Je logeais au Fort de Plappeville qui est malheureusement dans un triste état aujourd’hui, et je travaillais au fort de Guise comme mécano fils,à l’époque il y avaient encore des télétypes pour transmettre les messages.Le fort de Guise était une petite ville souterraine,le poste de garde et le mess se trouvaient à l’extérieur,l’entrée était discrète et le tout ressemblait à un restaurant,mais une fois passé le poste de garde c’était un autre monde.Je garde d’excellent souvenirs de cette période malheureusement révolue

  31. j’ai passé deux ans au fort de Plappeville (DA 55/128) de juin 86 à juin 88, j’ai encadré les CIM après mes classes et suis ensuite passé au secrétariat du CI avec l’adjudant chef CZERWINSKI aussi appelé CZ. je me souviens aussi du capitaine willaume et d’une atsem au mess rang de la base, Myriam, si quelqu’un a de leur nouvelle……
    Plein de bon moment les répétitions de défilés, les défilés de fin de CI, les séances de tir au PM, les nomadisations. un vrai crève cœur de voir tout ça laissé à l’abandon.

    1. Je suis passé par Plappeville _87/02 puis la base aérienne après les classes j’en garde un bon souvenir le temps passe si vite..
      On se demande actuellement pourquoi certains mômes n’ont plus de valeurs je pense que le service militaire avait cette vertus, c’est bien dommage et navrant de voir la base plus le fort dans un tel état..

  32. Je suis du contingent 92/08. Je travaillais au fort de Guise à la centrale électrique, sous le commandement du Major MILANT. Il y avait également l’adjudant chef TESSIER, l’adjudant BARBIER, le sergent-chef MANSSUY à qui j’ai ramené du vin blanc d’Alsace dont je suis originaire. Il y avait aussi le sergent GENTILLHOMME . Je me souviens des copains MAGRITE entre autre. J’ai passé du temps sur la BA 128 quand j’étais en repos. Une super époque. Beaucoup de regrets quand à la fermeture de ce cite. J’aimerais tellement visiter le Fort De Guise, si quelqu’un peut me donner des infos si il y a moyen de revoir cet endroit et le montrer à ma famille?

    1. J y étais en 93/09 comme électricien également .il y avait encore ces personnes aussi sergent Monier.il y a sur YouTube une vidéo ubex ou il visite le fort qui est malheureusement dans un mauvais était.On voit notre ancienne chambre de garde à coter du pupitre des commandes des groupes électrogène.
      Bon souvenir

  33. Appelé de la classe 65/01, j’ai effectué mes 16 mois à Frescaty aux MA 30/128 sous les ordres du Lieutenant BONMARIN, également détaché en qualité de chauffeur auprès du commandant MONDON pendant plusieurs mois.
    Une certaine émotion en revoyant toutes ces images, mais j’ai gardé de très bons souvenirs..de mes 20 ans sur la base, et des copains d’alors avec qui nous formions une belle équipe ….au T.2 . J’espère que certains se reconnaitront dans ces lignes……

  34. Un avis sur la chambre de la résidence. Une erreur dans le texte, il s’agit bien de la chambre du Général Commandant la Force Aérienne et non celle d’un Colonel
    Le kiosque à musique a été réalisé en collaboration avec la société MADALON et nos équipes d’appelés du contingent de la CRI 13/351 sous le commandement de cette unité le Capitaine WILLAUME Claude. Des extensions tel que la terrasse du dernier étage a été réalisée par cette même unité.
    Il est bien triste aujourd’hui de voir dans quel état se trouve cette résidence. Je garde de très bons souvenirs de cette résidence où j’ai pu mettre ma signature sur beaucoup de mobilier et autres aménagements.

  35. A tous les amoureux de la base de Frescaty, je profite de cet excellent « post » pour vous signaler en kiosque, un numéro très documenté du magazine d’aviation Airpower, sur la 9e escadre de Metz, de 1954 à 1965. Je très nombreuses photos inédites, dont la plupart en couleur, sur les F-84E/G/F, les Paris, T-33, Broussard … enfin tout !
    Mon coup de coeur, au dos, une splendide vue couleur parfaite, au format A4, d’un F-84G à Metz en … 1957 !!!
    Il ne sera disponible que jusqu’au 18 janvier 2017. Après, il faudra contacter l’éditeur… Pour moi, qui ai vécu à Montigny-le-Metz, à 2 pas de la base, c’est un collector !!

  36. j ai effectue mon service
    militaire classe 70/6 12 mois maximum.
    j etais chauffeur du général L Grouillet aujourd hui décéde . un homme exceptionnel de qualité humaine et compréhensif pour l appelé que j étais.
    cette base ainsi que la totalité de dispositif environnant etaient complexe . dommage de ne pas savoir conserver des outils reconnus et surement utules a la collectivité.
    michel Conin

  37. Après une P.M. AIR sur la Base Aérienne 922 de DOULLENS, je suis arrivé avec le contingent 79/06, passage oblige, par le fort de Plapeville. Ce fut ensuite une formation à l’ E.T. 00.801 de la Base Aérienne 102 de Dijon-Longvic. Retour à sur la B.A. 128, où j’ai été Sergent au Centre de Transmissions du G.E.T. 30.351. Ensuite reversé dans la réserve au CAPIR de CAMBRAI sur la Base Aérienne 103 de Cambrai-Epinoy.
    Je me souviens du nom de quelques personnes sur la B.A. 128, entre autres : Adj SOILEUX, SgC RAITH, SgC LECARDONELLE, ClC BRU. Un Antillais, VADO Louis Félix, un Alsacien, HALTER mais je ne me souviens plus le prénom et ils étaient nombreux les Alsaciens.
    Mon cousin, Daniel MILLART était officier sur la B.A.128 à cette époque là.
    Que de souvenirs……

    Michel COLOMBIER.

  38. J’étais volontaire feminine sur cette base pendant 2 ans de 05/83 à 04/85 , j’ai passé des moments magiques avec que des bons souvenirs .Je travaillais à l’action sociale de montigny avec le Colonel Charaix et j’ai encadré à plappeville la 84/02 cette base après tout ce temps est restée dans mon coeur. Et de la voir à l’abandon me désole. Les gens étaient super que de nostalgie .

  39. Après les classes à Luxeuil les bains, j’ai été affecté à l’état major, bureau mobilisation, avec le lieutenant Mochon, les chefs Poindron et Magnac,

  40. Super reportage quand je revois le hangar du Valmy … Dur dur même si ma carrière ensuite m’amène dans le sud ouest ou je suis désormais retraité la BA 128 restera un souvenir merveilleux. Je revois également nos rencontres inter unités dans ce super gymnase et le parcours de santé proche de l’EH. C’est triste de savoir ce passé disparaître, j’aurais aimé qu’un témoignage résiste à ce sacage, un petit musée !!! Et se manque de respect pour tout ceux qui on servi l’armée de l’air cela me révolte. Bonne soirée

  41. bjr….j’ai fait mon service militaire sur cette base d’octobre 70 à septembre 71, j’en ai que de bons souvenirs, malgré la distance qui me séparait de chez moi (environ 1000 kms ! ) j’y étais coiffeur (mon métier ) les week end j’étais au bar du foyer et a la bibliothèque, ensuite l’on m’a envoyé dans la région parisienne faire un stage de projectionniste, que j’ai obtenu avec succès, ce qui m’a permis au retour d’être responsable du cinéma , j’ y avais ma chambre. Vu la distance je partais très peu en permission ( environ tous les deux mois ) car je passais tout mon temps en transport ! ! Bref tout çà pour vous dire que j’ai un peu de tristesse en voyant la fin de la base….pourtant j’y étais retourné en 1976 avec mon épouse , on y était entré pour revoir « mon domicile  » le salon de coiffure etc……il me reste que les souvenirs…! ! !

  42. J’y ai effectue mon service militaire sur cette base 72/10 affecte au service de sante j’y ai passé de très bons moments à l’infirmerie de cette base importante mon statut m’a permis de passer 8 jours enterré dans un fort dont je ne me souviens plus le nom mais il y avait ce tube énorme d’où l’on dirigeait toutes les forces aériennes françaises que des bons souvenirs dommage que ces beaux bâtiments soient à l’abandon mon nom Gerard Guilleron

  43. Quelle émotion et que de souvenirs en revoyant tous ces bâtiments. Des souvenirs de travail, de service de semaine, de gardes en tous lieux, de défilés, de fiestas (oups), etc…. Dommage effectivement de ne pas voir Tournebride et le GTT, mais peut être vaut il mieux que nous gardions intactes ces images de camaraderie sur un site où nous avons passé de si bons moments. (Perso de 80 à 90, à l’EMT puis à l’ECTT).

  44. Arrivée sept 80 départ 97 aun debut fort de guise,ensuite mso,fort de Jeanne d arc,mess rang, fort de plapp e ville, entre temps passage au foyer et pour finir au fort de guise,bref toute une vie au service de la restauration avec de très bons copains et amis de travail ,papy,Yves, polia,jean marie,jean Claude, de de, popol ,sylvain,jean Philippe, Guitou,Blandine, Sylvie, foux,fouxette,jo, isa ,Bruno, pti beck,et tout les gens que j ai rencontré, que des bons souvenirs,même ci parfois il y avait beaucoup de boulot,si quelqu’un ce reconnaît ou me connaît je serai très heureux de reprendre contact,même ceux avec qui je n ai pas travaillé il suffit de regarder sur face de bouc. A plus et peut être à bientot

  45. appelé du contingent 76/06, j’ai fait mes classes à plappeville. Puis un stage de télétypiste à Dijon.
    Ensuite affecté à la STEM, au bureau de discipline, avec l’adjudant chef Carpier, un personnage qui m’a laissé de bon souvenirs.

  46. Bonjour
    j’ai effectué mon service militaire durant 16 mois (+ 1 mois) à la BA128 de Frescaty en tant qu’appelé du contingent. J’étais opérateur radio-télétypiste. Notre bâtiment se trouvait sur la droite, non loin de la grille d’entrée, où se trouvait tout le personnel de faction, dit « de semaine » c’est à dire en service pour une semaine. J’ai été incorporé en juillet 1967, classe 67/2A. J’ai été libérable en novembre 1968, ayant eu à effectuer 32 jours de « rab » (et 75 jours d’arrêts simples) en raison de 5 fausses permissions … eh oui, c’était comme çà, pas vu pas pris, mais si vous étiez contrôlé, alors là, c’était la douche « plein pot », j’ai pas eu de chance.
    De service de nuit, deux fois par semaine à la radio, et de garde sur les pistes, avec la MAT 49 et les maîtres-chiens, environ tous les 10/12 jours.
    voilà ma petite histoire, que de souvenirs, que de copains rencontrés. Même si j’étais à l’époque plutôt anti-militariste, je pense que Mr Chirac a fait une lamentable erreur de supprimer le service militaire, et 15/20 ans plus tard, c’est à dire en 2017, l’obligation d’obéissance ferait du bien à certains de nos jours, obligation de respect, de ne pas discuter, de se lever, d’aller travailler, de faire des corvées, etc… Je suis humaniste de gauche, mais c’est pourtant mon avis sincère,le service militair ejouait indéniablement un rôle social, mélange des classes sociales, tout le monde sur un pied d’égalité !.
    merci de m’avoir lu
    Gaby Delassus
    devenu radioamateur depuis
    avec l’indicatif F5PSI

  47. sous-officier à la STEM 81 (section transmissions) « Fil » cad téléphonie…de 1970 à mars 1974…..que de bons moments passés avec d’autres potes sous off; Petit Daniel, Diche, Ramplou, Altet, Guillou, etc, etc difficile de voir ces images….

  48. Bonjour , j ai travaillé sur cette base durant 14 ans en tant qu’ agent d entretien , je m occupait du nettoyage des chambres au bâtiment 1 et 5 et j y étais vraiment bien , j ai vraiment été très triste quand elle a fermé, quel dommage ! Les militaires étaient vraiment sympa , je regrette toutes ces années passées sur cette magnifique base!

  49. Bonjour, j’ai fais mes classes au fort de Plappeville et ai été affecté au PSM FATAC 1ère RA avec le colonel Grigault. 76/04
    supers souvenirs! et dommage que cela finisse comme cela!

  50. bonjour, moi j’étais de la 06/72,j’ai fait un mois de classe au fort de plappeville ensuite j’ai été affecté a montgueux dans une station radar a une dizaine de kilomètre de troyes dans l’aube comme cuisinier alors que mon métier étais couvreur,mais bon,donc j’ai passé peu de temps sur la base 128 mais j’en ai gardé un bon souvenir,j’y suis allé pour un week-end du mois de juin 1972.j’ai été désigné avec d’autres appelés pour un meeting aérien comme planton devant des barrières de sécurités et les spectateurs alors je comprend les personnes qui on passé plus de temps que moi sur la base;leurs désarrois.moi-mème quand j’entend les témoignages de dégradations de la base 128 et aussi du fort de plappeville ça me fais très ma au coeur,je souhaite comme tous que ces sites serons un jour réaménager cela fait aussi une partie de ma jeunesse.

    1. Bonjour,
      J’ai été appelé le 1 juin 1972 pour faire mes classes au fort de Plappeville. Peut être que vous avez un souvenir de moi car j’étais le coiffeur, chargé de couper les cheveux des appelés.
      Le 1 juin 1972 au soir avant le repas du soir tous les appelés étaient en rangées et un officier a demandé à tous les coiffeurs de lever le bras.
      Afin de m’assurer une année de service militaire tranquille j’ai levé le bras.
      Après un mois de classe j’ai été transféré au Tournebride (Une annexe de la base 128) au GTT précisément
      J’ai de très bons souvenirs, de l’année 1972 à 1973. On m’a remercié de mes services en me donnant le permis de conduire.
      Cordialement,

  51. bonjour, j ai vu ce soir que la base 128 avait fermer d ou ma surprise total je n ai pas connu cet base
    mais j ai éffectuier mon service militaire a metz au 4 eme RH de desvalieres en decembres 93 d ou j ai fait mes 10 mois
    en aoute 2000 je me suis engager a l armée mais la j était au 1 er régiment médicale au quartier serret mais nous étions loger a desvalieres
    ils y avaient des traveaux aux batiments a serret le 4 eme RH n éssitait plus
    il y a environ 1 mois j ai vu que la caserne de desvalieres va ce tranformer ces 5 prochaine années et meme le quartier colin.
    que c est triste de voir ca et d avoir fermer ces quartiers des milliers d emplois ont disparues du aux fermetures des ces casernes
    pour moi c est une partie de ma vie qui disparait le jour ou je retournerait voir le quartier desvalieres mais c est la vie

  52. Bonjour Vallée
    ça se peut que ton prénom soit YVON que j ai connu ,j etais dela 69/2 et non de la 3 libéré le 28 mai 1970
    bonne réception
    BERNARD GUTHMANN

    1. Mon prénom est Jean Louis et je ne te connais pas j’etais à l ERT comme chauffeur poids lourd ce qui n est absolument mon métier j ai quitté la base, mon service militaire et Metz sans aucun regret . Quatorze mois et demi sans intérêt.
      cordialement .

  53. Bonjour à tous,
    Ayant fait mon service militaire a la BA-128 en tant que chauffeur du général, je souhaiterais un petit éclaircissement.
    En 1983 j’étais chauffeur du général Michel Forget qui fut remplacé par le général Michel Forget (et oui le même nom et prénom). Hors je ne vois mentionné que le premier, comme si le second n’avait jamais existé, ça me parait un peu curieux. Quelqu’un aurait-il des informations à ce sujet.
    La toile présente dans le grand escalier du bâtiment d’état major et qui figure ici en photo a d’ailleurs été installée par le second Michel Forget à son arrivée.
    Enfin, si je m’en souviens bien, l’un des deux (le premier peut être ) avait 5 étoiles et non pas 4, pouvez vous me corriger.

    Amitié à tous
    Olivier Coquet 83/02

    1. Bonjour,

      Oui, je confirme que le général FORGET des années 80 était bien 5 étoiles. Je suis du contingent 80/12 et j’ai passé une année à Frescaty. Un mois de classe à Plappeville, un stage de télétypiste de 6 semaines à Dijon et ensuite le reste au fort de Guise. 24 heures d’affilées de travail et 2 jours de repos. Je confirme que Michel FORGET qui était Général à cette époque était bien un 5 étoiles. J’ai même eu le privilège de manger avec lui et deux autres généraux ( ou lieut colon je ne sais plus ) lors de la DATEX 81, des manoeuvres avec l’OTAN. Le fort de Guise avait un mess situé à l’extérieur du bunker mais lors des manoeuvres on ouvrait un mess dans le batiment intérieur et là bien sûr pas de différence de salle pour le personnel, tout le monde avec la même  » gamelle « . Normalement je devais manger avec mes copains appelés ( téétypistes et téléphonistes ) mais je suis arrivé un peu en retard et il ne restait qu’une place sur une table de 4. Après avoir demandé l’autorisation de m’y asseoir, j’ai pu manger avec LE général FORGET et il était bien 5 étoiles.

      Si quelqu’un a des photos du batiment des piaules des appelés des transmissions de la base ……

      A plus.

  54. bjr,j’ai été incorporé en tant qu’appelé ,classe 66/3 j’ ai fait mes classes a metz frescati ensuite j’ ai fait un stage de maitre chiens a linx en allemagne, de retour a frescati je fus détaché au fort de plappeville et ce pendant 10 mois environ, suite a un désaccord avec le responsable de l’unité des maitres chiens du fort (sergent lamy ) j’ ai été expédié au quartier raymond a metz j y ai cassé des murs a la masse pendant quelqes samedis et dimanches ,certainement pour calmer mes ardeurs sous la poigne de l’ adjudant chef reiter, je ne regrette pas tous ces moments qui pouvaient me paraitre dur ,mais aujourd’hui ce ne sont que d’inoubliabes souvenirs.
    un grand merci a l’ institution militaire pour ce que je suis devenu

  55. j etais de la 73/2 et j ai passé une année formidable au sein de l escadrille EE54 avec les noratlas. J ai eu la chance de pouvoir voler régulièrement et je garde de ces moments des souvenirs
    très forts. je serai très heureux de retrouver des personnes de cette époque.

  56. Bonjour
    Classe 77/10
    J’étais hier à Metz.Au marché de Noël. Je n’y étais pas revenu depuis mon service militaire….
    Quelle belle ville et que de souvenirs et de nostalgie.Dommage que Metz semble renier son passé militaire glorieux…
    J’ai connu (Un peu) l’ADC Carpier à Plappeville. j’ai essayé de rejoindre le vieux fort pour me balader mais je n’y suis pas parvenu…
    Salut à tous les anciens de la base 128 ?
    Amitiés. ?

    1. Bonjour Mr. Bardon,
      Je m’appelle Marc BLIND (un alsacien), j’étais également affecté sur la BA 128 de METZ-FRESCATY de la classe 77/10, avec les classes effectuées au fort de PLAPPEVILLE.
      De bons souvenirs pour cette période.
      Amitiés.

  57. Un petit bonjour d’un ancien appelé (69/1) de la STEM : classes à Tournebride sous le commandement du Lt Piccione , BA128 puis fort de Plappeville sous le commandement du Cdt Moreau et fort de Guise (Châtel Saint Germain); super époque, je me suis bien marré

  58. Bonjour,
    Mon épouse est originaire de Metz. Mais bien avant de la rencontrer en 2002, petit pilote privé TT à l’époque, PPL maintenant, je m’étais posé à Frescaty avec le DR400 Régent F-BTZM pour les formalités de dédouannement en provenance d’Amsterdam et à destination de Til Châtel (Côte d’Or). Aucun douanier ne s’était déplacé et nous avions pu redécoller rapidement, mais que cet aéroport était donc pratique… et gratuit (!) pour les pilotes en provenance d’un pays étranger. Je regrette bien vivement sa fermeture, et j’adresse mes respects à tous les militaires qui y ont été affectés.

  59. Bonjour,
    Mon père FREDERIC m’a parlé d’un super copain qu’il s’est fait à la classe 79/10 au fort de Plappeville, ALBERT.
    Nous n’avons pas le nom de famille car mon père ne se souvient plus et dans les lettres retrouvés c’était juste signé Albert.
    Il aimerait reprendre contact mais à part mettre un message ici, je ne vois pas trop où chercher.
    Si quelqu’un a des indices à nous donner, une direction où chercher pour retrouver la trace de ce fameux Albert ou encore mieux Albert si tu es là, faites-nous signe 🙂

  60. Ma belle-maman a été serveuse au messe et a rencontré l’amour de sa vie. Il s’appelait Claude, il etait pilote et elle s’appelle Marie-Claire Houzelle. Elle veut juste savoir s’il est toujours en vie et s’il se porte bien. Elle etait à la caserne Metz Frescaty de 1959 à 1962. C’est 1 bouteille à la mer que je lance. Merci pour votre aide.

  61. Je viens de voyager 34 ans arrière !
    J’aurais aimé revoir la BA 128 où j’ai fait mon service avec la 86/06 après mes classes à Toul-Rosières.
    J’étais à l’EM de la FATAC, au BRE (SIRPA Air) J’ai fini Sgt le jour de ma libération 🙂 J’ai aimé les 10 mois même les gardes à l’et, contrairement à certains, j’y ai découvert et appris beaucoup de choses.

  62. bonjour je redécouvre la BA 128 etant de la 67/2 affecté au GE 35/351 technicien radio grace à vous je reconnais bien le hangar des nord 2500 les divers ateliers mecanique radar radio se trouvaient autour merci pour les photos quel dommage que tout soit transformé cordialement

  63. Classe 74/4 , affecté à l’état major service courrier général.Que de bons souvenirs avec des Alsaciens,lorrains et même un calabrais tous appelés du contingent sans oublier les 2 PMFAA
    et les sous offs.

  64. Appelé à la BA128 du 1 juin 1972 au 31 mai 1973.
    J’ai laissé des souvenirs à beaucoup d’appelés est d’officiers car j’étais coiffeur pendant un mois au fort de Plappeville,
    Jai fini les onze mois suivant comme coiffeur au Tournebride, plus exactement au GTT, le groupe de transmission tactique de la BA128.
    Je garde de très bons souvenirs du temps de mon service militaire et de tous les garçons qui ont vécu cette époque.
    Je demeure à une trentaine de kilomètres des vestiges de cette belle base.

    1. Tu as du me couper les cheveux classe 73/2. J’avais les cheveux long et donc je suis passé en premier. Quel froid aux oreilles après… BA128 et fort de ¨Plappeville quel dommage de tout laisser à l’abandon.

  65. bonjour
    je voit certe tres tardivement ce post moi aussi j ai ete operateur transmissions au get 30 351 mais c etait en 1977 et je crois me souvenir avor croise sgt c lecardonelle a l epoque

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