Culture & spectacles

Visite bluffante au cercle des officiers de Metz… (photo reportage)

Le bâtiment est l’ancienne abbaye de St Arnoul, mais les Messins l’appellent souvent « le mess des officiers« . Situé rue aux ours à Metz, le bâtiment, ou plutôt l’ensemble de bâtiments, témoigne du passé glorieux autant que tumultueux de Metz, mais il recèle aussi bien des surprises.

Curieux de découvrir les recoins chargés d’histoire(s) du cercle des officiers de Metz (son vrai nom), nous avons plongé dans ses entrailles, guidés par Marie-Christine VERGÉ la maîtresse des lieux, et accompagnés du photographe professionnel Jean-Christophe VERHAEGEN à qui nous devons une bonne partie des clichés de cette série de 25 photos, chacune porteuse d’une légende la mettant en perspective. (pour découvrir d’autres photo reportages, cliquez ici).

Une visite surprenante, épatante même, où nous avons entre autres croisé le chemin d’un souterrain vers la Moselle, découvert l’inattendue réutilisation de l’ancienne église datée de 1221, pu accéder à la tourelle interdite, ou encore pu marcher dans l’une des plus anciennes rues préservée de Metz… une rue sortie tout droit du moyen-âge, cachée dans cette enceinte, et que seuls quelques rares Messins peuvent emprunter.

Voici la façade du bâtiment telle qu'on peut la découvrir depuis la rue aux ours. Au second plan, on devine l'une des ailes du tribunal de Metz. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Voici la façade du bâtiment telle qu’on peut la découvrir depuis la rue aux ours. Au second plan, on devine l’une des ailes du tribunal de Metz. Ce lieu (remodelé plusieurs fois) abrita d’abord un monastère, puis l’abbaye, un hôpital, une école du génie, suivie de l’école d’artillerie avant de devenir le cercle des officiers en 1919. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Voici l'emprise du cercle des officiers et de l'abbaye St Arnoul au coeur du centre ville de Metz. Un ensemble d'environ 1,6 hectares. que les voitures ne longent presque plus depuis la mise en place de la ligne en site propre du Mettis. Source : geo.metzmetropole.fr
Entourée de blanc, l’emprise du cercle des officiers et de l’abbaye St Arnoul au coeur du centre ville de Metz. Un ensemble à plusieurs ailes couvrant environ 1,6 hectares, que les voitures ne longent presque plus depuis la mise en place de la ligne en site propre du Mettis. Source image vue du ciel : geo.metzmetropole.fr
La bibilothèque Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
L’abbaye de St Arnoul était à l’origine située à l’emplacement de l’ancien hôpital Bon Secours. Déplacés lors du siège de Charles Quint en 1552, les bénédictins de l’abbaye Royale déménagèrent sur le lieu actuel, où se tenait le monastère des frères prêcheurs (1221). Dans la bibliothèque, appelée aussi « la pièce du savoir » se prenaient les décisions les plus importantes de l’évêché, de nombreux livres anciens peuvent y être consultés. Sur ce cliché, l’un des plus anciens ouvrages daté de 1857. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Une fois la réception de l'hôtel passée, on accède aux galeries du cloître. Des dépouilles prestigieuses seraient enfouies à divers endroits du carré abbatial. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Une fois la réception de l’hôtel passée, on accède aux galeries du cloître formé de 28 arches en pierre de Jaumont. Des dépouilles prestigieuses sont enfouies à divers endroits du carré abbatial, notamment celle de St Arnoul et de certains descendants de Charlemagne. Mais si l’on creuse, on trouve de nombreux ossements inconnus. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
L'une des salles de repas, location possible aux seuls membres. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Voici la salle des colonnes, ancien réfectoire des moines qui n’avaient pas le droit d’y parler. La sonorité est telle que l’on entend le moindre chuchotement, peu importe où l’on se situe dans la pièce. Aujourd’hui, le personnel de la défense peut louer cette salle pour des réceptions. Une fois par an, une messe regroupant les 4 religions de l’armée (catholique, israélite, musulmane et protestante) y est donnée par les 4 aumôniers militaires qui ont leur bureau au même étage, et partagent le même secrétariat. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Les caves avec texte allemand. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Plongée dans les caves de l’abbaye sur lesquelles reposent le bâtiment. Aujourd’hui galerie technique, elles servent également de lieu de stockage. Utilisées de tout temps, on peut encore y trouver des textes écrits en allemand datant de l’époque de l’annexion. A cette époque, les prussiens tentèrent de transformer le bâtiment en hôpital, mais cela fut un échec en raison de la configuration des lieux. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au sortir des caves , retour au cloître aperçoit tourelle. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au sortir des caves , retour à la lumière sous les arches du cloître, d’où l’on aperçoit la tourelle de guet (voir autres clichés plus bas). En 1870, les militaires stockèrent chevaux et minutions dans les galeries. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
La fameuse tourelle Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
La fameuse tourelle, nous y reviendrons plus tard. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au détour d'une porte donnant sur une profonde galerie du cloître, on se retrouve à l'extérieur. Face à nous la terrasse. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au détour d’une porte donnant sur une profonde galerie du cloître, on se retrouve à l’extérieur. Face à nous la terrasse et un ancien jardin de méditation à nos pieds. En été, il arrive souvent que les personnels y déjeunent, notamment lorsque le mess Delattre est fermé. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au fond d'une série de pièces anodines en enfilade, se trouve une porte fermée à clé. Derrière cet huis se trouve l'accès à une salle intermédiaire depuis laquelle part un souterrain qui servait d'issue de secours et de fuite en direction de la Moselle. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au fond d’une série de pièces anodines en enfilade, se trouve une porte fermée à clé. Derrière cet huis se trouve l’accès à une salle intermédiaire depuis laquelle part un souterrain qui servait d’issue de secours et de fuite en direction de la Moselle. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Nous sommes au pied du bâtiment portant la tour surélevée. Au-dessus de la porte se trouvait une pieta, emmurée vers 1794, qui ne fut retrouvée (intacte et en couleurs) qu'en 1990 lors de travaux de réfection. Laissée à l'air libre, elle fut déplacée à l'intérieur de l'abbaye pour éviter qu'elle ne s'abime (voir autre cliché). Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Nous sommes au pied du bâtiment portant la tour surélevée. Au-dessus de la porte se trouvait une piéta, emmurée vers 1794, qui ne fut retrouvée (intacte et en couleurs) qu’en 1990 lors de travaux de réfection. Laissée d’abord à l’air libre, elle fut déplacée à l’intérieur de l’abbaye pour éviter qu’elle ne s’abime (voir autre cliché). Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Nous sommes à l'intérieur de la tourelle. Son accès est interdit au public depuis de nombreuses années pour des raisons de sécurité. Seuls les personnels habilités de l'armée peuvent y entrer sous réserve d'une autorisation spéciale. Pour Tout-Metz, une photographe du SIRPA a gravi les 138 marches menant au sommet. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Nous sommes à l’intérieur de la tourelle. Son accès est interdit au public depuis de nombreuses années pour des raisons de sécurité. Seuls les personnels habilités de l’armée peuvent y entrer sous réserve d’une autorisation spéciale. Pour Tout-Metz, une photographe du SIRPA a gravi les 138 marches menant au sommet. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
A mi-hauteur de la tourelle surélevée, une porte permet d'accéder au faîtage du toit de l'ancienne église. Ce chemin perché à plusieurs dizaines de mètres de haut est encadré par deux rampes chancelantes. Au bout de ce chemin se trouve l'avant du bâtiment du cercle des officiers. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
A mi-hauteur de la tourelle surélevée, une porte permet d’accéder au faîtage du toit de l’ancienne église. Ce chemin perché à plusieurs dizaines de mètres de haut est encadré par deux rampes chancelantes. Au bout de ce chemin se trouve l’avant du bâtiment du cercle des officiers. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
360° par rapport au cliché précédent. Toujours perché la coursive du faîtage, on découvre la  partie la plus haute de la tourelle coiffée d'une pucelle d'acier et de verre d'époque. Elle est située à 42 mètres du sol. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
180° par rapport au cliché précédent. Toujours perché sur la coursive du faîtage, on découvre la partie la plus haute de la tourelle coiffée d’une pucelle d’acier et de verre d’époque. Elle est située à 42 mètres du sol. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Vous voici à l'intérieur même de la pucelle, qui fut construite lorsque l'arrivée des élèves de l'école d'artillerie chassa les religieux du bâtiment en 1794. La tourelle servait à observer les manoeuvres des militaires à l'entraînement, et notamment les impacts des tirs effectués vers le Mont St Quentin. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Vous voici à l’intérieur même de la pucelle, qui fut construite lorsque l’arrivée des élèves de l’école d’artillerie chassa les religieux du bâtiment en 1794. La tourelle servait à observer les manoeuvres des militaires à l’entraînement, et notamment les impacts des tirs effectués vers le Mont St Quentin. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Et voici l'une des vues les plus imprenables de la ville de Metz, justement sur le mont St Quentin sur lequel on observait l'adresse des artilleurs de l'école militaire. Au 1er plan sur la gauche, le jardin Boufflers, puis le plan d'eau. Les vitres sont d'époque et n'ont pas été nettoyée depuis de nombreuses années, d'où le voile sombre visible sur ce cliché. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Et voici l’une des vues les plus imprenables de la ville de Metz, justement sur le mont St Quentin sur lequel on observait l’adresse des artilleurs de l’école militaire. Au 1er plan sur la gauche, le jardin Boufflers, puis le plan d’eau. Les vitres sont d’époque et n’ont pas été nettoyée depuis de nombreuses années, d’où le voile sombre visible sur ce cliché. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Toujours vue du haut de la tourelle d'observation du cercle des officiers, voici le campus du Saulcy au second plan. A nos pieds, le toit qui s'avance appartient au bâtiment, et il héberge une installation inattendue comme nous le verrons plus bas. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
Toujours vue du haut de la tourelle d’observation du cercle des officiers, voici le campus du Saulcy au second plan. A nos pieds, le toit qui s’avance appartient au bâtiment, et il héberge une installation inattendue comme nous le verrons plus bas. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
A l'opposé de la vue précédente, le centre ville s'étend. Au 1er plan le cloître de l'abbaye St Arnoul, la tour carrée imbriquée dans le toit est l'ancienne entrée du bâtiment. En haut à gauche on reconnaît la Cathédrale de Metz. Juste en dessous, la résidence des officiers : des chambres pour les officiers loin de leurs familles. Ce bâtiment, appelé "celibatorium" fut construit pour empêcher les élèves de l'école militaire d'aller s'encanailler avec les filles de la ville. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
A l’opposé de la vue précédente, le centre ville s’étend. Au 1er plan le cloître de l’abbaye St Arnoul, la tour carrée imbriquée dans le toit est l’ancienne entrée du bâtiment. En haut à gauche on reconnaît la Cathédrale de Metz. Juste en dessous, la résidence des officiers : des chambres pour les officiers loin de leurs familles. Ce bâtiment, appelé « celibatorium » fut construit pour empêcher les élèves de l’école militaire d’aller s’encanailler avec les filles de la ville. Photo : Sabrina Vincent (SIRPA), avril 2015
En suivant les galeries du cloître, on se retrouve à l'extérieur du bâtiment, précisément à l'arrière des salles de réunion. Face à nous la terrasse
Nous voici de retour dans les galeries du cloître. Cette « petite » porte affiche discrètement la mention « ancienne église ». C’est juste derrière ces modestes battants que nous attendait l’une des plus grandes surprises de l’abbaye St Arnoul. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Vous ne rêvez pas, c'est bien un terrain de tennis qui occupe l'espace, et il est toujours en activité. Il fut construit dans les années 60 sur ordre du Général Massu. Cette ancienne église construite avec 2 étages, était l'une des plus grande de France lorsqu'elle fut bâtie en 1221. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Vous ne rêvez pas, c’est bien un terrain de tennis qui occupe l’espace, et il est toujours en activité. Il fut construit dans les années 60 sur ordre du Général Massu. Cette ancienne église construite avec 2 étages, était l’une des plus grande de France lorsqu’elle fut bâtie en 1221, le volume est encore impressionnant. Investie par les militaires, elle a servi d’écurie, puis de salle de « Kriegspiel » (simulation à échelle réduite de configurations de batailles avec des soldats de plomb) du temps de l’annexion allemande. « Tennis Magazine » a consacré un dossier complet à cette installation unique en France il y a quelques années. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Lorsque l'on quitte l'ancienne église terrain de tennis, on se retrouve dans cet étroit passage, qui n'est rien d'autre que l'une des plus anciennes rues de Metz. Probablement la plus ancienne préservée ainsi depuis le moyen âge. Elle n'est pas accessible autrement. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Lorsque l’on quitte l’ancienne église-terrain de tennis, on se retrouve dans cet étroit passage, qui n’est rien d’autre que l’une des plus anciennes rues de Metz. Probablement la plus ancienne préservée ainsi depuis le moyen âge. Elle n’est pas accessible autrement. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au bout de l'ancienne ruelle présentée ci-dessus se trouve le lieu où les moins stockaient les barriques de vin, notamment celui du château de Vaux qui appartenait à l'abbaye. A la place du stock de breuvage se trouve aujourd'hui un second terrain de tennis Lui aussi encore en activité, il héberge chaque année un tournoi du club militaire. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Au bout de l’ancienne ruelle présentée ci-dessus se trouve le lieu où les moines stockaient les barriques de vin, notamment celui du château de Vaux qui appartenait à l’abbaye. A la place du stock de breuvage se trouve aujourd’hui un second terrain de tennis Lui aussi encore en activité, il héberge chaque année un tournoi du club militaire. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Nous sommes de retour dans le corps principal du cercle des officiers. La piéta de 1520 retrouvée en 1990 y est exposée depuis 2002 face à la porte donnant accès à la réception. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Nous sommes de retour dans le corps principal du cercle des officiers. La piéta de 1520 retrouvée en 1990 y est exposée depuis 2002 face à la porte donnant accès à la réception. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Le couloir d'accès aux différentes salles du mess des officiers, 300 repas au minimum sont servis ici tous les midis. Du temps de l'abbaye, ces salles étaient occupées par des copistes. A la fin du 13ème siècle, l'abbaye hébergeait l'une des plus grande bibliothèque de son époque avec près de 10 000 ouvrages, accessibles d'ailleurs à l'ensemble de la population (femmes, hommes, paysans et notables) ce qui était plutôt rare. L'immense majorité (env. 90%) de ces ouvrages a été brûlée à la révolution.  Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Le couloir d’accès aux différentes salles du mess des officiers, 300 repas au minimum sont servis ici tous les midis. Du temps de l’abbaye, ces salles étaient occupées par des copistes. A la fin du 13ème siècle, l’abbaye hébergeait l’une des plus grandes bibliothèques de son époque avec près de 10 000 ouvrages, accessibles d’ailleurs à l’ensemble de la population (femmes, hommes, paysans et notables) ce qui était plutôt rare. L’immense majorité (env. 90%) de ces ouvrages a été brûlée à la révolution. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Vous êtes dans la salle de remise des diplômes, qui abritait le choeur de l'ancienne église avant que les prussiens ne décident de la transformer en une salle de cours et de réception. Sa surface est de 300m², et elle accueille aujourd'hui encore des conférences et des séminaires de l'armée. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Vous êtes dans la salle de remise des diplômes, qui abritait le choeur de l’ancienne église avant que les prussiens ne décident de la transformer en une salle de cours et de réception. Sa surface est de 300m², et elle accueille aujourd’hui encore des conférences et des séminaires de l’armée. Photo : Jean Christophe Verhaegen, 7 avril 2015
Avant de repasser devant les photos en retournant en haut de cette page, voici un plan vous permettant de resituer les clichés présentés dans ce photo reportage. Source image : geo.metzmetropole.fr
Avant de repasser devant les photos en retournant en haut de cette page, voici un plan vous permettant de resituer les clichés présentés dans ce photo reportage. Source image vue du ciel : geo.metzmetropole.fr

Bien que certaines zones soient interdites au public, le cercle des officiers de Metz est accessible chaque année (en bonne partie) dans le cadre des journées du patrimoine.

Outre Jean Christophe Verhaegen pour son superbe travail, nous remercions la cellule communication de la zone de défense et de sécurité Est, et tous les personnels qui ont permis la réalisation de ce photo reportage, ou qui en ont facilité la mise en oeuvre. Nous remercions également le Caporal Chef Sabrina Vincent d’avoir pris le temps de grimper les marches de la tourelle pour nous ramener ces rares clichés. Enfin, nous adressons une dédicace toute particulière à Marie-Christine Vergé pour sa passion (transmise), sa complicité, les informations historiques, le temps et les kilomètres parcourus en notre compagnie.

Pour découvrir d’autres photo reportages de Tout Metz, cliquez ici.

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14 commentaires

  1. Encore un bâtiment de Metz qui ne paye pas de mine aux premiers abords, mais qui nous éblouit dès qu’on le découvre. J’adore ma ville!

  2. Ce n’est plus le mess des officiers depuis 1999, maintenant c’est un cercle mess de garnison ouvert à tous les militaires et leurs familles ainsi qu’à d’autres administrations;

  3. Je me souviens très bien de cet endroit puisque j’y avais été affecté en tant qu’appelé de 1987 à 1988 durant mon service militaire. J’étais moniteur de tennis et donnais des cours aux militaires et à leurs enfants ainsi qu’au personnel administratif travaillant pour l’Armée. Le Club Sportif de la Garnison, juxtaposé aux Mess des Officiers, regroupait alors plusieurs moniteurs de spécialités différentes (tennis, judo, gymnastique, natation, voile, ski, escrime, …). Il y avait également une salle d’escrime dans cette enceinte ; je ne sais pas si elle existe toujours. De bons souvenirs !

  4. bonj je me souviens tres bien 30 ans au service ou j ai été affectée ( cercle mixte de garnison) maintenant cercle mess lasalle que des souvenirs aimee felix

  5. que de bons souvenirs j etais serveur en salle pendant mon service militaire pendant dix mois en 1966 une bonne école de la vie avec une bonne ambiance de tout les gars présent je suis très ému de trouver ces photos et en garde la nostalgie je suis breton et aimerait bien y repasser

  6. Merci pour ce superbe reportage !
    Mes parents y ont célébré leur mariage en 1974 et j’y suis allé plusieurs fois dans les années 80′. Emouvant de revoir ces lieux sous un jour parfois inconnu.

  7. Bravo et grand merci pour cette visite. Je frequente Metz épisodiquement depuis 1966 et je suis heureux de pouvoir suivre son évolution grâce à de bons reportages comme celui-ci. Continuez.

  8. J’ai passé dix mois de mon service militaire (Avril 1970 – Janvier 1971) à cet endroit, d’abord comme serveur en salle et ensuite au bar, très bon souvenirs de ce temps de ma jeunesse…
    C’est avec un peut de nostalgie que je revoie ces photos, un endroit magnifique.

  9. Mille merci pour ce reportage très détaillé et oh combien interessant…
    J’y retrouve le lieu magnifique de mon mariage du 4 Mars 1995 ( en tant qu’ Officier de Marine réserviste), avec d’autres vues inconnues! J’espère pouvoir y retourner prochainement, si ce n’est avec nos 3 enfants, au moins avec mon épouse!
    Bravo et merci encore,
    Gilles

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