Evènements de 1918 à 1945 à Metz

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Reconnaissance de la France | Annexion brutale de 1940 | Libération de 1944


Reconnaissance de la France

Avec son retour à la France, Metz est acclamée par tout le pays.

Le 8 décembre 1918, on l’accueille officiellement à nouveau au sein du pays Français, avec une grande cérémonie.

Le président de la République Raymond Poincaré, accompagné par le président du Conseil Clémenceau, et de très nombreux députés et sénateurs, maréchaux et généraux, ambassadeurs, viennent féliciter la ville.

Le 27 octobre 1819, l’année suivante, Metz reçoit la croix de la Légion d’Honneur : « Ville dont la fidélité obstinée à la France n’a connu aucune défaillance au cours d’une captivité de 48 ans ! »

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Annexion brutale de 1940

Après le début de la seconde guerre mondiale et la « drôle de guerre » où l’on s’observe simplement, les combats débutent vraiment en 1940.

C’est la guerre-éclair : les Allemands arrivent à envahir la France jusqu’à la Loire, Metz de son côté et bombardée.

Le 14 juin, le maire de Metz quitte la ville sur ordre du préfet de la Moselle, et Metz est déclaré « ville ouverte« .

Le 17 juin, les Allemands entre dans la ville.

Une tentative de germaniser la population, très brutalement, très durement, est lancée, mais en vain, et la résistance anime la ville.

Résistance passive, en refusant la culture allemande, ou active, par les armes.

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Libération de 1944

Après le débarquement allié en Normandie, l’armée du général Patton se dirige vite vers la Moselle.

Le 7 septembre, elle arrive à Maizières-les-Metz, mais y est bloquée : Hitler installe là sa ligne de front, et les bases arrières sont trop lointaines.

Deux longs mois se passent, et Metz est enfin libéré le 22 novembre : comme en 1918, c’est une importante joie générale qui secoue la ville quand le général Walker remet la ville à la France.

Les derniers bastions allemands tombent en décembre.

Le 11 février 1945, le général de Gaulle, alors chef du gouvernement provisoire, est acclamé à Metz.

Le 14 juillet 1946, c’est au tour de Churchill, le politicien anglais,  de recevoir bon accueil.

Enfin le 3 juillet 1948, le président de la République Vincent Auriol.

Il remettra à la ville la croix de guerre avec palme, « pour son attitude exemplaire sous le joug allemand ».

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Pour en savoir plus au sujet de Metz de la fin de la 1ère guerre mondiale à la fin de la seconde, cliquez ici.

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