Culture & spectacles

Les Tambours de Tokyo en concert gratuit au Château de Malbrouck

Le Château de Malbrouck à Manderen accueille l’ensemble « O Edo Sukeroku Taiko », les Tambours de Tokyo, ce mercredi 22 juillet 2015. Le concert sera en entrée libre.

Le Château de Malbrouck - Photo : Tout-Metz
Le Château de Malbrouck – Photo : Tout-Metz

Les Tambours de Tokyo au Château de Malbrouck, c’est l’événement de cet été au Château de Malbrouck à Manderen, organisé dans le cadre de l’exposition « Samouraïs et chevaliers », à découvrir jusqu’au 1er novembre 2015.

L’ensemble « O Edo Sukeroku Taiko » pratique l’art du taiko, l’un des plus anciens instruments japonais utilisé lors des fêtes de famille et des célébrations religieuses.

Le concert des « Tambours de Tokyo » proposé au Château de Malbrouck le 22 juillet 2015 dès 18h n’est pas un simple concert où l’on peut voir des hommes et des femmes frapper des tambours avec 2 baguettes en bois, mais plutôt un grand spectacle musical mêlant créativité et tradition avec une énergie impressionnante.

Informations pratiques

Mercredi 22 juillet 2015 à 18h
Château de Malbrouck à Manderen
Accès gratuit
Tél : 33 (0)3 87 35 03 87
Courriel : [email protected]

Retrouvez cet événement dans l’agenda de Tout-Metz ici.

Un commentaire

  1. Le Râteau de Malbrouck

    Je pris ma plume en ce matin. Oyé oyé, braves gens une cuvée spéciale est arrivée au Château et celle la mérite son AOC (Aller-voir l’Organisation de Chiotte).

    C’est au Château de Çamebroutte, nom commercial validé à l’unanimité sur la pavé par les 150 badaud que nous étions.

    L’histoire de cette piquette ?
    Nous étions 4 mousquetaires célébrant le 22 juillet et sa malaventure. Les victuailles sucrées de l’après-midi firent de nous de preux chevaliers et nous prîmes la diligence motorisée afin d’ouïr des saltimbanques. Concert en lieux et place du Château de Malbrouck, les Tambours de Tokyo.

    Nous croquions marmot depuis 50 minutes devant la porte de la ruine après 1 heure de route pour nous et 1h30 pour nos amis. La file d’attente avançait déjà timidement quand tout à coup…mortecouille !
    L’entrée toute proche nous était interdite à quelques pas, nous attendîmes. Nous pouvions voir et compter les gens derrière nous, faisant le pied de grue. Il étaient 50, puis 150…C’était joli ! Un long sciage tortueux de gens… on se serait cru à la Sécu, les agents malpolies et incompétents en moins.

    Pendant ce temps là une porte dérobée s’ouvrit à quelques centimètres de nous et avec elle une lueur d’espoir…Que nenni mon fillot ! Une pucelle écarta un peu plus l’ouverture laissant passer sans rougir le gratin, le noble, les seigneurs du conseil régional, général, l’huile fonctionnaire, mais point le vain peuple , la menuaille dont nous fîmes parti.

    Afin d’abréger nos souffrances tel Guillotin aidé de son chirurgien M’ssieur Louis, une gueuse devergoigneuse s’avança devant nous et dit « rentrez chez-vous ! ». La paillarde, envoyée au bûché que nous étions, fit de belle étincelles lorsque les flammes de l’indignation arrivèrent.
    Ici nous pouvions entendre « C’est une honte c’est toujours comme cela ici » qu’envoya un fidèle client. Le vacarme commença c’était le bronx, sans les tambours ! Des sifflées, des huées, des enfants, des papys…

    Devant tant de réclamations la damoiselle lança une ultime plaidoirie qui me fît sortir de mes gongs «  nous sommes victimes de notre succès ».

    « Madame, vous n’êtes pas victime de votre succès. Cela s’appelle de l’incompétence. » lui envoyer-je.

    Visiblement l’organisation et la communication ne sont pas les atouts de ce château et certains ne sont pas à leur poste à Malbrouck. Difficile de penser lorsque l’on se situe entre la machine à café et la pause cigarette, tiraillé entre deux addictions. Pourtant ce lieux n’est pas nouveau et lorsque l’on propose une entrée gratuite le bon sens s’impose à nous en proposant une réservation en ligne gratuite qui limite le nombre de place évitant au passage le mécontentement de personnes venu de prés ou de loin. Je parle pas du sens commercial qui consisterai a inviter les personnes laissé sur le carreau à un nouvel événement… car il est sans doute parti avec le bon sens.

    Nous finirons par la phrase d’un couple d’anglais « Nous nous souviendrons de l’accueil à la française et ne reviendrons plus ici » (bravo la France cocorico).

    Nous décernons donc, le vain peuple, mes amis et moi, le chiotte d’or au Château de Malbrouck avec une note de 17 rouleaux de PQ sur 10 un record, la saison 2015 s’annonce exceptionnelle !

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